A quelques mois d'intervalle, deux albums aux titres quasiment identiques traitent tous les deux du monde du travail. A ma gauche : Travail m'a tuer de Vuillemin. A ma droite : Ce travail m'a stresser de Serge Dehaes. Ding !
Jeu cultissime par sa nouvelle aproche de la série des Castlevania, cet opus intitulé Symphony of the night lancera la popularité de la saga sur toutes les consoles qui suivirent.
Troisième album qui fait figure de tournant dans la carrière de cette chanteuse danoise, qui s'est prêtée bien volontiers au jeu de notre interview automatique.
Lise Westzynthius dévoile la richesse de son écriture proposant une jolie collection de chansons où celle-ci multiplie les atmosphères, quitte à s'y perdre un peu...
Nicolas & Bruno sont deux personnes. Daniel Auteuil aussi. Mais un concept ne fait pas un film, et le recyclage d'idées et de tics venus d'Outre-Atlantique ne suffit pas à lui insuffler la personnalité voulue.
Titre fort sympathique plein de petites surprises agréables. Un jeu solide et entraînant qui mérite qu'on s'y attarde. Composante RPG majoritaire à prendre en compte avant achat.
Excellent ultime volet dans la belle lignée d'une série adulée. Pas grand chose à redire si ce n'est : Attention ! Dédié aux fans. Merci pour eux. Les autres comprendront, mais pas tout.
Lors de ce premier opus à la charge de Turk & De Groot, c'est Greg qui fournira le scénario. Cette collaboration donne un résultat, encore aujourd'hui, savoureux.
On se laisse pénétrer par ces mélodies lancinantes qui ne sont pas sans évoquer Julie Cruise dans le Twin Peaks de David Lynch ou certains albums de Stina Nordenstam.
Michael Cimino tire une de ses dernières cartouches avec ce film un peu bâtard, qui tient autant du western urbain perverti que de la réflexion post-Vietnam. Le tout est nimbé de quelques relents du Parrain.
Un jeu de cartes toujours aussi bon, mais aussi une grande déception qui subjectivement gâche tout : l'absence de récompense de la fidélité du joueur.