Le quotidien d'une jeune dessinatrice accompagnée de deux chats et d'un grand nombre d'amis farfelus. Rires assurés.
Une histoire de super-héros déchu qui part en vrille pour aboutir totalement sur un autre sujet et un dénouement inattendu, c'est l'heureuse surprise qui se cache derrière Z le chat.
Une fantaisie héroïque aux accents connus mais à la mélodie inédite, signée du duo de Sälem la Noire et Acriborea. Les prémisses sont prometteuses, reste à voir si la suite sera à la hauteur.
IL-2 Sturmovik s'essaye au monde des consoleux, mais le jeu reste peu accessible pour les non spécialistes du genre. La qualité graphique est bien là, mais le fun étant aux abonnés absents pour les réticents des gunfights aériens, il est conseillé de l'essayer avant d'acheter !
Une preview qui nous fait un peu palpiter à l'avance sur un résultat final qu'on espère historiquement complet ainsi qu'un nombre de modes de jeux qu'on espère viable sur le live pour une fois. A suivre, mais bonne pioche pour le moment.
Deuxième tome des Annales du Disque-Monde, Le huitième sortilège lève le voile sur l'univers des sortilèges de ce monde fou-fou-fou.
Age of Empires III n'est pas qu'un jeu vidéo. C'est aussi un jeu de société doté de mécanismes de placements. Exit les grosses bagarres à outrance, place à la gestion et aux découvertes.
Cyril Pedrosa continue d'auto-croquer brillamment sa vie de famille écolo-bobo, toujours partisan du « faites ce que je dis, pas ce que je fais, sauf quand j'arrive à faire ce que je dis que je vais faire ».
Nazis et surnaturel réinvoqués pour une remise à plat de Wolfenstein. Pourtant, rien n'a réellement changé. On tue toujours linéairement, et le décor n'est même pas à la hauteur.
Très bon numéro deux pour une saga tous terrains et tous joueurs. Un travail graphique de pointe avec un réalisme un peu rehaussé par rapport à son petit grand frère sensiblement plus arcade. C'est du très bon fun au programme. Vroom Vroom !
Le monde se dirige-t-il vers une nouvelle guerre froide ? L'agent Alpha est-il un traître ? Intrigue solide et complot machiavélique à l'ancienne au programme des nouvelles aventures de Dwight Tyler !
En 1998, Elmore Leonard était sur tous les fronts. Quentin Tarantino et Steven Soderbergh livraient chacun une adaptation d'un de ses romans, avec Michael Keaton en dénominateur commun.
Tour de force : Audiard réussit à faire naître un souffle novateur dans le cinéma français. Résultat : un Grand Prix à Cannes pas immérité.