Sorte de best of de la série spin-off, il faut être open, pour ne pas se sentir out. Et si une voix off, vous dit que vous êtes out, il faut comprendre août, mois de sortie de cet album.
Dans un lycée des Yvelines, Simon Werner manque à l'appel. Entre fantasmes et désirs, les autres élèves ont bien du mal à cerner la réalité.
Un premier film de Gobert mêlant teen-movie et univers intimiste.
Suite et fin de cette adaptation du roman d'Anatole Le Braz qui nous découvre le châtiment que le gardien réserve à ceux qu'il aime.
Le cinéma d'horreur malais ressemble à n'importe quel autre. A découvrir un soir d'automne, puis certainement à oublier aussi sec.
Plus qu'un film sur les conséquences de la colonisation, Des hommes et des dieux est une réflexion sur la spiritualité, sur le choix et sur le « vivre ensemble ».
Croquer les aventures d'une centaine de héros chinois n'est pas une mince affaire. C'est pourtant avec brio que les auteurs parviennent à réaliser cet exploit. Ils sont secondés par les dessins de l'excellent Wang Peng.
La franchise Camp Rock a beau demeurer plutôt moyenne, la nouvelle tournure orientée comédie musicale de cet opus le distingue positivement du premier épisode. Recommandable pour ceux qui apprécient les High School Musical.
Cet album sent la fin de règne pour le pape et ses moines. Le Scorpion a passé la surmultipliée et veut avoir toutes les informations sur son père. Il est partout et nulle part, mû par cette seule envie : savoir qui est son père.
Deuxième volet du cycle « Passé », d'une série construite sur les voyages temporels et la folie furieuse, cet opus, par son contexte, révèle la force du concept de base.
Le coffret consacré l'an dernier aux films de Méliès ressort le 27 septembre, enrichi d'un DVD supplémentaire non négligeable. En tout, 200 courts métrages et un moyen métrage constituent ces 15 heures de découverte émerveillée.
Deux albums de Vies de Merde un peu inégaux mais qui remplissent leur mission de divertissement. C'est toujours efficace de se moquer des petits malheurs des autres...
Huit euros supplémentaires, est-ce le juste tarif pour jouer les foufous sans complexe et sans cervelle dans un décor de rêve ? Mouais...
Installant une héroïne atypique et plutôt bien roulée pour l'époque, les auteurs de cette série montrent une réelle capacité d'attraction, par la mise en scène d'une légende familière.