Suite et fin de la saga "à la 24" orchestrée par Stephen Desberg. Le rythme ne mollit pas, et le récit d'espionnage se dote d'une pointe de mysticisme/fantastique. Le tout reste très convenu.
Edouard Baer reprend sa pièce au théâtre Marigny. Une pièce à voir en 360° et totalement à mourir de rire pour peu qu'on aime l'absurde...
Rapport 2008 de l'ACBD
Cette traduction de Sagas islandaises par Régis Boyer est le meilleur moyen pour dépasser les préjugés que l'on peut avoir sur ces peuples qu'on appelle les Vikings, et pour finalement les admirer.
Une série mythique adaptée en manga mythique (pour son délai de parution ?) voit le jour sous la plume de son créateur, Yoshiyuki Sadamoto. Une revisite de l'anime pas vraiment commune...
On le sait depuis La guerre des boutons : les enfants sont cruels. En fait, on le savait déjà avant, mais ce conte de Noël vient le rappeler à point nommé, en offrant à une bande de loustics l'occasion d'éclipser les quelques stars venues dire coucou.
Le Gus du titre revient sur le devant de la scène pour le troisième opus de sa série. Le cow-boy au cœur d'artichaut est omniprésent dans ce nouveau tome qui, bien qu'un mini-cran en-dessous des deux autres, reste une nouvelle preuve du talent de Blain.
Avant-dernier tome du cycle africain pour la série de Dufaux et Mirallès. Les ingrédients sont connus pour la plupart, mais le résultat toujours aussi unique, comme pour le Coca-Cola. Ce n'est pas une raison pour essayer le Djinn-Coca, c'est très mauvais.
Un cow-boy solitaire, a long long way from home, avec un cheval qui parle, ça vous dit quelque chose ? Vous avez tout faux : le personnage de Geof Darrow doit bien plus à Moebius qu'à Morris.
Une excellente adaptation d'un jeu point'n click néanmoins inodore, incolore et sans saveur, qui ne dépasse même pas les 10H. Une grande déception.
Une histoire de gosses paumés dans l'univers Marvel, avec un design conçu pour plaire à une génération de gamers. Pas vraiment mal écrit, mais beaucoup trop calibré pour refléter la personnalité de Brian K. Vaughan.
Miss.Tic, en apposant des portraits de femmes aux phrases malicieuses ou acerbes sur les murs fait-elle de l'art ? Oui ! répond Christophe Genin, dans un livre défendant l'oeuvre complète de la dame à la bombe de peinture.
Une bande de jeunes cools se rendent sur un lieu sacré et le paient cher. Un film d'horreur avec de belles plantes (dans tous les sens du termes) mais peu d'idées.
Louise-Michel fait partie de ce cinéma drôlement grinçant, né quelque part entre Belgique, Nord et Picardie, un cinéma de la lose diablement rafraîchissant.
Quatrième tome des tranches de vie de cette nana qui ne correspond à rien de ce qu'on aurait envie de croiser dans la rue. Mais bizarrement, on s'identifie...
Davantage considéré comme un pré-Halloween que comme une oeuvre à part entière, le film de Bob Clark mérite davantage de considération, même si le chef d'oeuvre de l'homme est déjà derrière lui...
Christmas est, de bout en bout, un film inintéressant qu'on ne peut que regarder de l'oeil lointain du spectateur qui n'est pas touché. Dispensable.
Il y a des films magiques, dont on ne saurait trop dire ce qui les rend inusables. Ici, outre la qualité incontestable des gags et des dialogues, il y a la grâce au-delà de la vulgarité, la tendresse au-delà de la cruauté. Et puis bon, on se bidonne.
Arnold cherche un jouet, mais son passé de star de film d'action ressurgit. Du coup, il tape les méchants papas et poursuit des gamines dans des centres commerciaux.