Les amours de Yukié ou les meurtres de Yuki ? Si vous avez aimé le manga choc Lady Snowblood, voici son auteur qui nous revient dans un genre tout autre...
Les premières années de Tête de Fer sont pépères : équivalent dessiné des combats de la WWF, elles relatent la série d'affrontements menés par le héros contre une galerie d'ennemis communistes. La complexité, ce sera pour plus tard.
Malgré un sourire lumineux, c’est bien une âme torturée qui transparaît à l’écoute de Still Need A Kiss premier opus de Mai, projet solo de Johanna Wedin, suédoise en exil à Paris...
Un petit groin de paradis ?
Une aventure insipide et guindée qui ne révèle sa véritable nature que dans ses dernières pages, beaucoup trop tard. Le dessin se défend plutôt bien, mais à quoi bon ?
Des chansons populaires portées par une voix d'aujourd'hui, c'est la démarche de Balbino Medellin. Y'a plus qu'à écouter...
Impassible, imperturbable, professionnel et toujours aussi peu amical, Duke Togo est un personnage incroyable qui fait l'essence d'un titre culte.
Si Cher petit trésor se dote d’une meilleure finition visuelle que son prédécesseur, ses histoires étant plus axées sur l’émotion, elles n’arrivent pas toujours à la cheville de l’insolite originel.
Une suite tardive à peine à la hauteur de l'original, dans laquelle seul Benoît Poelvoorde tire vraiment son épingle du jeu. Pas même assez nunuche pour rivaliser avec les autres titres contenant l'appellation « Saint-Tropez ».
Yoko profite de ses origines partiellement chinoises pour faire du tourisme à haut risque entre les mythes et le temps. Trois tomes agréables, sans être les meilleurs de la série.
Pas révolutionnaire mais de qualité, Dust est une alternative réussie à Risk.
La saison 5 est à l'image d'une série non productive dès sa première. Mais ça réchauffe en hiver. Jetez donc ça dans votre lecteur DVD. Attention toutefois ! Cela fait devenir vieux prématurément.
Malgré un sujet fort et un duo d'excellentes actrices, le premier film de l'écrivain Philippe Claudel chausse de trop gros sabots pour convaincre complètement.
La 74e aventure de Ric Hochet constitue la conclusion à l'album précédent, où on apprenait que sa mère est otage du bourreau, personnage apparu il y a 60 numéros, en 1972.
Je sais, ce n'est pas raisonnable... Mais pour la route, pourquoi ne pas s'en griller une dernière, hein ?
Symphonique et Rock, l'ensemble est cohérent et émouvant. Les notes brutes et exquises d'un piano solitaire dans la vallée des violoncelles et des basses. Un délice de musique intimiste.
Les insectes se livrent une guerre sans pitié. Et ils ont un sacré stock de capacités dans leur sac. La première étant sans aucun doute de nous faire bien rire avec ce Micro Mutants Evolution.