Scott Lobdell et Carlos Pacheco prennent les X-men en main. Nous sommes en 1997, et le virus Legacy agit comme une métaphore évidente du Sida. Rien de bien subtil dans le déroulé des évènements, mais les couleurs flashent un max.
Un shônen comédie romantique de plus à ranger dans la catégorie fan service...
L'homme chauve-souris bondit de toit en toit depuis 1939 : l'alter ego de Bruce Wayne reste aujourd'hui un des super-héros les plus populaires, grâce à sa complexité et à sa noirceur fascinante.
Un shôjo sans surprise qui annonçait l'étendue de sa portée dans un résumé bêbête. Difficile de s'en satisfaire...
Lorànt Deutsch dans un survival tendu ? Ah oui ! Ben non. Mais c'est sympa quand même. Profitez-en, parce qu'on ne risque pas de le revoir dans un film de ce genre de sitôt.
Un remake d'une réussite inespérée qui se pose en jolie relecture d'un des films les plus marquants des années 70. Qui l'eut cru ?
Variation en forme de pot-pourri autour de l'univers d'Edgar Poe (Poe-pourri ? on n'ira pas jusque là, même pour le plaisir du jeu de mots), cet Usher pèche essentiellement par un manque de lisibilité et une mise en couleurs trop dense.
Trois histoires courtes, trois déceptions scénaristiques mais un emballage graphique attrayant pour un manhua inabouti...
En 1994, deux maîtres de l'horreur s'essayaient à la mise en abîme vertigineuse de leur discipline. Wes Craven contre John Carpenter, le cérébral contre le viscéral, Freddy contre Lovecraft...
Avec une certaine honnêteté, ce slasher en relief délivre ce qu'on attend d'un slasher en relief sans se casser le bol outre mesure. Vendredi 14 ? Heyyy, ça marche, si on est en février !
Premier tome d'une série qui, malgré son environnement un peu niais, retient l'attention par son exposition et son illustration, à la limite de l'étrange.
Toujours aussi bon et agrémenté de tout plein de petites choses qui font une petite différence. Malheureusement, pas d'instruments pour faire un test complet. La playlist est fort agréable, vaste et progressive.
Très bon soft dans une édition sans reproche. Les bonus en font une version légèrement collector, mais le jeu parle de lui- même mis à part le parti pris graphique, parfois trop carnavalesque. Un excellent titre.
Le ninja le plus abruti n'est pas Naruto mais bien Nikimaru dont la bêtise n'a d'égal que le rire qu'elle provoque. Et on rit souvent...
Enki Bilal reste un gros fumeur de moquette, dont les délires narratifs sont servis par un dessin irréprochable et envoûtant. Demi-zèbres, dauphins mutants et hippocampes volants peuplent le monde de ce nouvel album déroutant.
Une bande de disc-jockeys pirates inonde l'Angleterre de bon vieux rock à partir d'un bateau en mer. Ça donne envie de balancer un "fuck" retentissant.