Une adaptation ultra-fidèle mais purement décorative de la bande dessinée culte d'Alan Moore et Dave Gibbons. Zack Snyder est un formaliste, et son film est un morceau de pop-culture curieusement original et divertissant. Pari réussi ? Pas si sûr.
Leo continue d'exploiter le filon des mondes d'Aldébaran, dont les albums se vendent toujours aussi bien. Celui-ci est le douzième volet des tribulations de Kim et Marc. Et la saga fête ses quinze ans.
Un jeu qui suscite la curiosité tant par son esthétisme futuriste que son principe très innovant et ses feux d'artifices ultra-colorés.
Poursuivant le très bon travail du tome 1, les auteurs produisent un nouvel album d'une très bonne tenue, et malgré le peu de révélations, on en veut encore et encore.
Bien, mais pas encore top. On note toutefois de gros efforts de léchage de graphisme et un bestiaire de 35 personnages qui suffit à lui seul à vous décider entre les deux versions disponibles : la petite ou bien la grosse révolution.
Une historiette d'amour en vue subjective. Tout simple et touchant, dans un style expérimental mais jamais prétentieux. Bastien Vivès a encore frappé.
Brent Weeks fait son best seller en version originale. Traduit chez Bragelonne, la trilogie de la voie des ombres mérite le détour, tout en nous laissant un peu sur la réserve.
Neuf et inventif malgré des repères graphiques très anciens, cet album manque néanmoins son but en tant qu'objet littéraire, pour ne satisfaire qu'à la promotion du film dont il est tiré.
Le pirate de l'année 2007 s'appelle Jack Keane. Ce jeune homme au prénom révélateur et au patronyme musical est invité à conduire sur son navire un agent secret britannique vers un île à l'appellation trompeuse, Tooth Island, en échange d'une soit-disant rétribution alléchante.
Un jeu de stratégie brute, peut-être même un peu trop. Un poil de considération technique et un zeste de mojo n'auraient pas été du luxe.
Un solide second volet d'Age of Empires pour la DS. Plus d'unités, plus de bêtes, plus de pouvoirs et le wi-fi en prime.
Un superbe diptyque, dont la deuxième moitié se sera faite attendre durant un an et demi. Epopée indienne et chronique familiale : Samsara est un point fort des Secrets de Frank Giroud.
Inspiré d'une histoire vraie et d'un livre américain, le film est allemand et s'emploie à démontrer comme il est facile de prendre goût au fascisme... Une petite sueur froide pertinente.
Un délice, du bonheur et tout ça grâce à de la stratégie RPG comme on en fait si peu. Pour les fans et a priori par des fans, ou alors des gens vraiment prêts à faire plaisir à leur public. Dommage qu'on soit encore obligés d'attendre les add-ons... heureusement on a de quoi faire.
Avec Ned et Pushing Daisies, la mort n'est plus une fatalité. Une série qui n'a pas su trouver son public, mais qui a de beaux atouts à faire découvrir, en DVD et Blu-Ray.
Un beat'em all loin d'être anodin, affichant quelques bonnes idées mais manquant peut-être d'un peu d'ambition. Arachnophobes s'abstenir.
Lamontagne et Ma Yi, c'est Québec et Shangaï, à Toulon chez Soleil, pour faire du celtique de Bretagne. Si ça c'est pas open-mind...