Les tomes 5 à 8 installent la vitesse de croisière des aventures du détective privé, quelque part entre le sérieux du roman noir et l'humour bondissant du classicisme franco-belge.
Toujours plus loin, plus haut, plus fort, tel est la devise de ... Left 4 Dead 2. Repoussant les limites de son aîné, il s'impose comme LA suite à ne pas louper pour tous les amoureux de FPS furieux, de teamplay et de survie.
Cette série nous plonge, à l'instar de Le dernier des Mohicans, dans un nouveau monde en proie aux velléités conquérantes de l'Europe, au mépris des populations natives.
Le retour tant attendu par beaucoup de fans d'un couple de héros qui aura marqué la grande époque de la PS2. Hélas, tout passe...
La déclinaison PSP de Star Wars BattleFront se perpétue avec Elite Squadron. Une lutte fratricide épique nous est contée, parcourant toute la saga cinématographique dans le temps et l'espace. Cette troisième itération possède les atouts de ses ainées mais n'apporte que quelques rares changements de jouabilité et une personnalisation plus poussée.
Le sous-marin Uss Nebraska se retrouve coincé par 2000 mètres de fonds devant un étrange temple, et les ennuis commencent. Le best-seller de Xavier Dorison et Christophe Bec est revu par Stéphane Betbeder et Riccardo Crosa avec de nouveaux personnages.
Un grand JdR pour un jeu graphiquement poussiereux malgré une modélisation des visages experte et un bestiaire aux petits oignons. Un excellent titre tactique également qui aurait mérité un travail un poil plus poussé.
Om, le grand Dieu Om borgne aime descendre rendre visite à ses fidèles. Sous la forme d'un taureau. Ou d'un lion. Pourtant Frangin le découvre un jour sous la forme d'une tortue.
Mauvais garçons est une ode au flamenco, à l'amour, à la virilité, à la sensualité, au rêve et à l'être humain. Laissez-vous guider en pays andalou...
Un petit jeu de course arcade simple et sans grande prétention malheureusement. C'est dommage quand on sait que la licence ne redécole pas. Ca reste frais pour de la nitro.
Agatha Christie : La Maison du Péril tient bien son titre. Il faut vraiment être en Péril pour acheter ce titre et le lancer sur l’ordinateur de la maison. Il y a déjà assez de bons jeux du genre pour s’en passer !
Un jeu vaste et varié où le mignon Lombax et son pôte le robot férégineux alternent les missions sans relâche de notre passion pour leur univers. Très chouette suite de suite de suite. On ne s'en lasse pas.