Saint Seiya (Les Chevaliers du Zodiaque), c'est un peu comme le Beaujolais nouveau, vous ne savez jamais comment sera la nouvelle cuvée. Cette année, elle a une belle robe. Normale, c'est signée par UNE mangaka.
Jeu prise de tête pour les amateurs d'énigmes. Très bel habillage et travail de finition impeccable fait sur l'univers visuel. Sans la première condition toutefois, vous ne serez pas pris par les sentiments.
Un film pour enfants en bas âge, qui risque néanmoins de leur endommager durablement le cerveau et les tympans. La farandole des bouses de l'été a trouvé son porte-drapeau.
Nigel il est trop top cool ! Il a un pur boulot, y s'tape qui y veut, et y'a même des jours, il sauve des espèces en voie d'extinction. Comment qu'j'le kiffe trop...
Du gros rouge qui tache et des montres en or qui flashent sur des délires trashs : le Dirty Centre se lâche et c'est la totale éclatche !
Inspiré d'une histoire vraie, Las Vegas 21 aurait gagné à rester un article de presse ou une autobiographie. La version romancée à la sauce teen movie ne gagne à être vue que pour la présence de Kevin Spacey.
Atypique pour un album de la collection Aire Libre, Taïga rouge offre le versant intimiste de l'aventure épique. Un très bel ouvrage, qui laisse augurer un avenir radieux à ses auteurs.
Un album instrumental d'un ex Cheval de Frise, aussi difficile à attraper qu'un papillon voletant au dessus d'une flaque.
Avec ses graphismes un peu hâtifs mais pas désagréables, Pythons instaure une ambiance sombre et intéressante, qui sauve un récit un peu confus et parfumé au déjà-vu.
La dure loi du show business à l'épreuve de l'amitié. Et le tout en musique. Song Yang revient à la charge avec les héros de Matous et Pingouins.
Une troupe de jeunes éphèbes à votre service. Et en plus, ils vous font rire. A réserver aux (très, très, très jeunes) femmes.
Tout est dans le titre. Lorsqu'un manhwaga se rappelle les douces années de son enfance, cela donne un ouvrage touchant, drôle et nostalgique.
2008. Le groupe sort son 8ème album, Rise and Fall, Rage and Grace, l'occasion idéale de revenir sur près de vingt ans de punk, branché sur l'alternatif.
Des faiblesses narratives et graphiques, mais somme toute une bd qui dénonce avec raison et talent. Un nouveau Choucas qui n'est pas dénué d'intérêt et duquel on ressort la conscience un peu plus à l'affût.
Dofus revient avec une déclinaison au pluriel de son univers consacré à son bestiaire...