Petites hontes enfantines est l'un de ces rares albums capables de vous faire vous remémorer des instants intenses de votre enfance, parfois volontairement enfouis...
None a single good thing
Faibles pulsations
Révolution, tel aurait effectivement pu être son nom.
Par l'émotion qui passe à travers leur chant, les trois norvégiennes donnent une vision personnelle et forte de ces oeuvres qui retrouvent ainsi une nouvelle vie.
Cette Trance nous rappelle que Steve Kuhn, par son touché et son audace, l'un des plus pianistes de jazz les plus impressionnants.
Si Easy Living avait jeté les premières pierres du "nouveau" Rava, Tati confirme l'orientation prise en l'approfondissant avec soin et élégance, souvent de manière intuitive.
Preview de la saison 1
Bunker, prévu en cinq actes, s'annonce comme une très bonne série. Espérons pour Christophe Bec que ce nouveau projet d'envergure saura contenter un large public. Bunker, à en juger par ce premier album, le mérite.
Scénario convenu et presque nanar, graphismes légers (bâclés ?), Le temps des loups est une nouveauté à fuir.
Derib et Job continuent sereinement leur chemin, sans entraîner leurs fans en dehors des sentiers battus. C'est ce qu'on leur demande au final après tout... Non ?
Le peuple des endormis, qui doit nous être conté en trois actes, a tout l'air d'être une réussite. Prévoyant, on réservera le point qui fait passer du très bon à l'excellence pour la sortie du deuxième tome.
Ce nouvel album permet à Bojan Zulfikarpasic d'affirmer une fois de plus l'étendue de ses capacités et signe sans aucun doute l'un des albums les plus intéressants de l'année 2003 !
Un album simple et beau où la rythmique, justement, est centre névralgique, une musique qui vous hante alors même quand tout est fini...
Pour ceux qui se laisseraient envoûter par la musique de Arne Nordheim, celle-ci vous fera découvrir un univers totalement inconnu, dépaysant ouvrant mille et une possibilités.
Voyageant entre jazz, tango, musique klezmer et musique orientale ou balkanique, ses pérégrinations nous invitent dans un lieu où échanges et envoûtements sont monnaies courantes.
Théoriser le rythme n'a pas rendu Daniel Goyone assommant, bien au contraire, son album revêt parfois même un certain bucolisme... un certain onirisme...
Le son parfait donne une réelle intimité à cette prestation munichoise qui se révèle une très bonne représentation du savoir-faire et du talent du trio.