Bram Stoker est à souligner comme l'un des albums les plus novateurs graphiquement de l'année.
Hardluck est un ouvrage à l'humour particulier, qui ne ravira pas un large public. Cela ne veut pas dire que l'étiquetage est mauvais. Edika nage simplement dans un univers qui sera jugé par certains comme peu subtil ou inattractif.
A l'écoute de ce 413 A, on pense évidemment aux créations de John Zorn ou à certaines aventures de Mike Patton avec son Fantômas. S'y hasarder n'est pas de tout repos !
La nostalgie de Couturier est marquée par la sagesse de l'âge, une érudition qui n'empêche aucune spontanéité ou poésie.
Quel meilleur ton adopter que celui de l'absurde pour parler avec humour de l'administration ? Du papier faisant table rase ne décevra pas les fans du duo Chauzy/Jonquet, tout du moins pas ceux sensibles à l'humour absurde et déjanté.
Les fantômes de Hanoï, c'est donc un album tout aussi réussi graphiquement qu'il est décevant narrativement. Les planches sont belles à regarder, mais fatigantes à lire, pour résumer grossièrement.
Critique des épisodes 1 à 6 de la première saison de Masters of Horror
Dans son royaume inconnu, Gábor Gadó joue avec les systèmes établis, tente de déranger, mais séduit.
Pour son premier album chez Rune Grammophon, Food franchit une nouvelle étape dans ses pérégrinations sonores, offrant l'ingrédient essentiel au plaisir.
Sublimée par ces interprètes, son oeuvre sombre et pourtant lumineuse devrait trouver la place qui doit être sienne au Panthéon des compositeurs contemporains...
C'est con...
Un rêve ? Nul ne sait, mais vous entrez dans un sanctuaire où les clefs de la compréhension n'existent pas, seules les sensations demeurent.
Le dialogue est intimiste et serein, une discussion à l'écart de la foule et des regards, afin de sublimer la musicalité de cette rencontre.
« Les jambes des femmes sont des compas qui arpentent le globe terrestre en tout sens, lui donnant son équilibre et son harmonie »