Lise Westzynthius dévoile la richesse de son écriture proposant une jolie collection de chansons où celle-ci multiplie les atmosphères, quitte à s'y perdre un peu...
Nicolas & Bruno sont deux personnes. Daniel Auteuil aussi. Mais un concept ne fait pas un film, et le recyclage d'idées et de tics venus d'Outre-Atlantique ne suffit pas à lui insuffler la personnalité voulue.
Titre fort sympathique plein de petites surprises agréables. Un jeu solide et entraînant qui mérite qu'on s'y attarde. Composante RPG majoritaire à prendre en compte avant achat.
Excellent ultime volet dans la belle lignée d'une série adulée. Pas grand chose à redire si ce n'est : Attention ! Dédié aux fans. Merci pour eux. Les autres comprendront, mais pas tout.
Lors de ce premier opus à la charge de Turk & De Groot, c'est Greg qui fournira le scénario. Cette collaboration donne un résultat, encore aujourd'hui, savoureux.
On se laisse pénétrer par ces mélodies lancinantes qui ne sont pas sans évoquer Julie Cruise dans le Twin Peaks de David Lynch ou certains albums de Stina Nordenstam.
Michael Cimino tire une de ses dernières cartouches avec ce film un peu bâtard, qui tient autant du western urbain perverti que de la réflexion post-Vietnam. Le tout est nimbé de quelques relents du Parrain.
Un jeu de cartes toujours aussi bon, mais aussi une grande déception qui subjectivement gâche tout : l'absence de récompense de la fidélité du joueur.
Premier opus en forme de caresse qui après un premier titre… en français, dévoile en anglais et une pointe d’accent nordique, de tendres ballades. Très attachant.
Il est des fois où la japanimation moderne nous déçoit grandement. Certains animes faits à la va-vite par un staff trop pressé par le temps ou un budget insuffisant ne valent même pas la peine qu'on les regarde jusqu'au bout...
Spécialiste de l’apprentissage de l’hébreu par logiciels éducatifs interposés, les éditions Yodéa ont eu de l’idée en introduisant ce roman graphique américain (Prix du Moment Magazines’s Emerging Writers) sur notre territoire...
Le Sam Raimi des débuts ne s'apitoyait pas sur le sort d'un Peter Parker aux cheveux gras. Il était plutôt du genre à envoyer ses personnages à la chaise électrique, en prenant soin de bien les faire rebondir sur les bords du flipper.