Bruno Podalydès clôt sa trilogie versaillaise par un film choral agréable et léger, un plateau de tranches de vie où chacun est invité à picorer selon ses préférences.
La suite des aventures de la tueuse de vampire qui cicatrise le moins vite et qui a un sérieux pète au casque, dans ce deuxième opus dessiné par le jeune Looky, laisse un léger goût amer.
Léo Ferré chantait le temps qui passe, Kang Full dessine le temps qui recule, avance, se stoppe, repart et même celui qui fait des ellipses. Ils sont forts ces Coréens...
La vie éclair de John Dillinger, sorte de Jesse James des années 30 qui fit une carrière-express dans le banditisme. L'album relève plus du livre illustré que de la bande dessinée proprement dite.
Renaud Dillies met en bulle une souris solitaire et dépressive atteinte de la panne de l'écrivain. Parviendra-t-elle à prendre son envol ?... On espère du moins qu'elle parviendra à capter toute l'attention qu'elle mérite.
L'autre, il s'égare est un album à la saine urgence, qui devrait permettre à Bebly de se faire une place remarquée dans l'univers ô combien exigeant du rock à texte...
Fuel c'est l'invitation au voyage et le plaisir de la course dans un seul jeu. Homologué comme étant le jeu le plus vaste jamais réalisé par le livre des records. Fuel vous promet de longues heures de bonheur.
Reprise recadrée, augmentée et décolorisée d'un premier tome paru en 2004, cette BD a le charme d'un roman d'aventure, avec des cartes et des trésors... Aawrr !
Un thriller parano assez commun mais bien emmené, où l'absurde côtoie la critique à chaque instant. Mais pas de manière égale, oh non.
Les titres résonnent d'histoires dont des éléments, comme des indices,avaient été dévoilés sur les précédents opus. Nosfell donne enfin laclef de ces contes, de sa cosmogonie. Rock et beau !