En trois salles, Bon goût/Mauvais goût/Ikea, l'exposition tente de trouver dans les avant-gardes ceux qui feront les classiques de demain : un aperçu savoureux du patrimoine mobilier suédois tout en s'interrogeant sur son devenir.
Steno.P, bien qu'autoproduit, n'a pas lésiné sur les moyens pour nous offrir un album vraiment réussi.
L'histoire vraie du prisonnier le plus violent de Grande-Bretagne fournit la matière d'une expérience cinématographique peu commune. Tom Hardy habite son rôle de brute avec intensité.
Mort sur le Nil et Le crime d'Halloween compilés pour à peine dix euros, ça vaut le coup d'être acheté pour lire sur la plage. D'autant que les approches graphiques des deux sont radicalement différentes.
Cyanide nous offre une adaptation réussie du jeu de Games Workshop. Blood Bowl est un cocktail addictif d'action, d'humour et de stratégie.
Sans parole, sans cerveau, avec tout juste trois plumes aux fesses et trois autres sur le crâne, le Piou se fait une place chez Dupuis. Inoffensif et distrayant.
Excellente playlist qui permet de revisiter des monuments du rock avec batterie, micro et slidebar à l'appui. Un grand moment un peu court toutefois.
Troisième parution de la compilation et de la refonte des poissons de Poupon, toujours dans une bonne humeur et une inventivité certaine.
Un p'tit jeu de deux roues assez agréable et très grand public, mais à se procurer d'occasion.
Un coup d'essai qui termine sur le bas-côté. A "non-jouer" d'urgence !
Moins cheap que le titre pourrait laisser croire, le film lorgne largement du côté de Shaun of the Dead. Rien d'inoubliable, mais le titre est honnête. Il y a des vampires, ce sont des lesbiennes et elles se font tuer.
Un deuxième tome viril aux tribulations variées, qui explore de façon encore plus poussée le thème de la guerre vue par le petit bout de la lorgnette. Le dessin de Brüno à lui tout seul suffirait à justifier le détour.
Mace : The Dark Age est le jeu de combat culte d'un console mythique : la Nintendo 64. Avec ses arènes immenses et tout aussi mortelles que ses combattants, ce jeu a marqué les esprits.
Johnny Depp s'ennuie sous la caméra numérique d'un Michael Mann aussi peu soucieux de réalité historique que de glamour. On retient essentiellement le volume sonore des fusillades.
Monna Lisa, une armée de robots... Natacha n'avait pas le temps de s'ennuyer à la fin des années 70. Tout juste celui d'émuler Rencontres du troisième type.
Une toute petite édition pour un très grand film. Les bonus sont une insulte à la cinéphilie et la qualité du DVD laisse à désirer. Le Blu-Ray fait davantage d'efforts.
Exposition accessible et ludique de par son sujet, étoffée sans être indigeste, cette rétrospective de la période parisienne de Calder se termine donc sur une réelle envie d'en découvrir davantage.
Le deuxième tome de cette série sympathique essouffle un peu le sujet du divorce et lasse donc un peu son lecteur. Pourtant, la conclusion laisse entrevoir un tome 3 bien plus inspiré.
L'histoire d'un clairon qui revient sur ses souvenirs enfouis. La guerre évoquée à travers Marcel, un petit vieux attendrissant malgré sa tête de mule.