Et si la fin du monde, c'était marrant ? Rythmé, bardé d'idées visuelles croquignolettes, ponctué par les constats ironiques du héros, le film contient bien quelques instants pathos vite désamorcés mais ne se départit jamais de sa bonne humeur.
Il faut quelquefois se poser des questions quand tout semble trop beau. C'est ce que va faire Vanessa Key quand elle va se couper le doigt.
Après douze ans d'attente, James Cameron revient enfin à la fiction, à travers un film qui fera date dans la chronologie des effets spéciaux. Et le réalisateur n'a rien perdu de sa superbe.
Panini réédite les deux premiers volumes du classique d'Alan Moore : un bon moyen de rappeler que le cinéma hollywoodien n'a pas inventé l'équipe formée de Nemo, Allan Quatermain et les autres.
Quelle est la relation le Nain Cognejarret, le Dragon Joufflu et le Clown Ribouldingue ? A priori rien si ce n'est qu'ils sont tous les trois morts. C'est un boulot pour le Guet !
Bethesda comptait peut-être nous proposer là le WipEout de la Wii. Ben non ! Moche, injouable et sans aucun intérêt, Wheelspin est une horreur !
Le degré zéro du jeu vidéo ! Une espèce de truc même pas en mousse visant apparemment juste à abuser de la crédulité d'un jeune public en y associant le nom d'une star du ballon rond. Honte à eux !
Plus qu'un portage, une version inédite de LittleBigPlanet pour la LittleBigPSP. Et même si le jeu souffre de quelques allègements dommageables, Sackboy peut sourire, c'est plutôt réussi...
Un shôjo musical mais un shôjo avant tout qui ne se montre pas bien méchant et tout juste divertissant.
Arnold Schwarzenegger nous fait la totale à grands coups de millions de dollars. James Cameron est content, après Terminator, il va enfin pouvoir recaser une explosion nucléaire.
Courtney Love a besoin d'argent ? Hop elle puise dans le gigantesque répertoire de son défunt mari. Mais pas question pour autant de bouder notre plaisir.
Ce Dirt 2 est plutôt une bonne surprise et n'aura aucun mal à dominer le genre, vu que les jeux de Rally sont rares. C'est probablement ce qui manque à Codemasters, un concurrent digne de ce nom qui les pousserait à nous donner la maniabilité qui fait l'unanimité.
Yoko s'envoie en l'air dans les trois aventures de ce volume, dernier pan d'une superbe intégrale. Mais l'œuvre est toujours en cours, puisqu'un nouvel album inédit pointe le bout de son nez...
C'est décembre, il fait moche dehors et votre porte-monnaie a subi une cure d'amaigrissement à cause des fêtes de fin d'année ! Pourquoi n'iriez-vous donc pas taper gratuitement quelques balles sous le soleil pour décompresser?
Superbe surprise, Ghostbusters the Video Game est court mais intense. Il nous replonge avec plaisir dans l'ambiance des films. Bill Murray est toujours aussi bon et la capture de Bouffe Tout et de ses amis va vous faire frémir de plaisir.
Des zombies, des combats et un Peach-Pit qui se vautre complètement avec ce titre.
Un très bon jeu de quizz bien spécialisé à la fois en cinéma et en fun. Dommage qu'il ne soit pas travaillé graphiquement ou que les modes de jeux du futur n'y existent pas.
Très chouette jeu qui renoue avec une vieille tradition de softs assez agréables pour prolonger l'expérience de nos contes pour enfants, une tradition qui avait été oubliée sous un parquet, criblée de quatre balles au torse et la nuque baignant dans le vieux cresson moisi.
Pénible, peu maniable et pas drôle pour un sou. Une adaptation de la vie palpitante d'un mercenaire qui tombe à plat. On se demande pourquoi il aura fallu tant d'années de développement pour en arriver là. La chouette histoire est probablement là.