L'album semble bel et bien avoir fait l'objet d'une malédiction, mais il tire correctement son épingle du jeu, pour peu qu'on préfère Mortimer à Blake et qu'on ne soit pas trop regardant sur l'originalité des péripéties.
Sortie en DVD le 25 novembre dernier, la série True Blood nous présente son univers anti-Twilight à travers une mode vampirique des plus persistantes.
Avant Avatar, James Cameron s'était évadé dans l'espace avec Aliens, la suite du film de Ridley Scott, pour un film essentiel tout en étant décevant.
La vie d'un ado de base à l'usage de tous ceux, et nous les savons nombreux, qui rêvent de leur faire bouffer leurs portables et/ou de leur apprendre l'orthographe.
Première présentation "claque dans la gueule" de ce qui s'annonce sans conteste comme un des meilleurs jeu de l'année 2010. Définitivement une bombe qu'on attend de pied ferme !
Un jeu de plus à oublier sur sa Wii préférée. Fade, mal foutu, sans réelle qualité, ce titre est à laisser aux oubliettes du château. Foi de preu chevalier !
Galopin ou détective en herbe, aventurier solitaire puis accompagné d'un Razibus noir que ne dictait aucune politique de quota, Bibi Fricotin a marqué l'histoire de la bande dessinée.
Moins violent mais plus tourmenté, le nouveau Raoul Sinier se prend en pleine gueule, assaut constant de machines torturées et mélodies calcinées.
Errances en couches délicates, mélodies contemplatives, les arpèges tissent des toiles soyeuses qui entraînent l'auditeur dans des montées en intensité grisantes.
Dans la tradition des super-héros catcheurs mexicains, Lucha Libre nous présente, à travers 5 histoires, les plus grands délires des Humanoïdes Associés. Un album bien sympathique dans l'ensemble qui nous fait hurler "ENCORE !!!!! j'en veux encore plus"
Alien. Un titre évocateur, un univers phobique qui ont marqué des générations de spectateurs. Un film qui a su traverser les âges sans encombre. A voir et à revoir.
En choisissant de coucher sur le papier l'histoire de ce vieux Léon par Yannick Jaulin (histoire déjà entendue dans Merlicoquet), de le marier à l'univers velouté et poétique d'Elodie Nouhen, les éditions Didier Jeunesse nous offrent un bel album de Noël, qui de surcroît a le mérite de s'écarter des sentiers battus du genre.
Et si la fin du monde, c'était marrant ? Rythmé, bardé d'idées visuelles croquignolettes, ponctué par les constats ironiques du héros, le film contient bien quelques instants pathos vite désamorcés mais ne se départit jamais de sa bonne humeur.
Il faut quelquefois se poser des questions quand tout semble trop beau. C'est ce que va faire Vanessa Key quand elle va se couper le doigt.