Les trois témoignages sont passionnants et cet album se montre moins frustrant que son prédécesseur Un automne à Hanoï.
Interview de Clément Baloup le 21 août 2006
On a tué Wild Bill impressionne par son scénario intense et une réalisation graphique d'Hermann richissime.
Un western poussiéreux, ambiancé et vicieux comme on les aime. Un classicisme assumé dès le titre qui ne peut bien évidemment pas surprendre mais qui déploie toutes les qualités pour passionner.
Même si le Démon des Caraïbes n'est plus aussi médiatisé, il aura laissé à sa manière un souvenir indélébile pour les générations suivantes.
Ç'aurait pu s'appeler Dépucelage Camping ou VVF Vacances Première Fois, finalement c'est Coeur Océan, image certes plus poétique pour une même fin en définitive.
Critique du second cycle, l'étoile blanche (tomes 6 et 7) : Aquablue se retrouve amputé de la moitié de son univers, la part restante subissant nettement les travers d'un scénario de plus en plus happé par l'entertainment et la surenchère.
Critique des tomes 1 et 2 : les amateurs de cinéma gore et de zombies sauront trouver leur taux d'hémoglobine et de clins d'oeil référentiels pour afficher quelques sourires...