L'ensemble s'écoule tranquillement, peut être un peu trop d'ailleurs, car sur la longueur les choses paraissent un peu conventionnelles...
De bien jolies histoires nocturnes que nous content ces gentlemen, perles en apesanteur qui éclairent d'une lumière diaphane les rues sombres d'une ville endormie.
Sorcières, mes soeurs est un album de mémoire et d'enjeux, à conseiller vivement à tous ceux déjà alertés par les problèmes rencontrés par les femmes comme à ceux qui méconnaissent encore le sujet.
Un bon moment de lecture où on en redemande encore, tels des gamins agrippant la manche de leurs parents pour leur demander de raconter une autre histoire.
Petites hontes enfantines est l'un de ces rares albums capables de vous faire vous remémorer des instants intenses de votre enfance, parfois volontairement enfouis...
None a single good thing
Faibles pulsations
Révolution, tel aurait effectivement pu être son nom.
Par l'émotion qui passe à travers leur chant, les trois norvégiennes donnent une vision personnelle et forte de ces oeuvres qui retrouvent ainsi une nouvelle vie.
Cette Trance nous rappelle que Steve Kuhn, par son touché et son audace, l'un des plus pianistes de jazz les plus impressionnants.
Si Easy Living avait jeté les premières pierres du "nouveau" Rava, Tati confirme l'orientation prise en l'approfondissant avec soin et élégance, souvent de manière intuitive.
Preview de la saison 1
Bunker, prévu en cinq actes, s'annonce comme une très bonne série. Espérons pour Christophe Bec que ce nouveau projet d'envergure saura contenter un large public. Bunker, à en juger par ce premier album, le mérite.
Scénario convenu et presque nanar, graphismes légers (bâclés ?), Le temps des loups est une nouveauté à fuir.
Derib et Job continuent sereinement leur chemin, sans entraîner leurs fans en dehors des sentiers battus. C'est ce qu'on leur demande au final après tout... Non ?