Rose est une petite délicatesse dont les douze pétales forment une cohérence faite de simplicité et de sincérité. Rose à fleur de peau, à effeuiller tendrement.
Ce nouvel album de Thomas Strønen propose des ballades libres parfois un peu arides mais qui gagnent en saveur lorsque l'on éduque son ouïe.
Ceux qui ont été séduits par le travail de Tord Gustavsen ou de Stéphan Oliva se retrouveront pleinement comblés par ce Goodbye du pianiste suédois.
Stars and tripes
Une Terre, des Paradis n'est pas un catalogue publicitaire des endroits de rêve de la planète. Bien qu'un des DVD s'intéresse aux Empreintes de l'Homme, celui qui se dit « moderne » ne figure pas dans les différents documentaires de cette série...
Poison Ivy s'annonce être une excellente série, pleine d'humour et de fraîcheur. Un hommage acidulé qui pourrait bien s'étaler sans essoufflement sur un grand nombre d'albums, vu la richesse et les possibilités de rétrospective de la période abordée.
Peut-être que 7 balles pour Oxford se révèlerait être une histoire agréable à suivre. Donnons lui une chance. Aussi minuscule soit-elle, avant d'appuyer définitivement sur la détente.
Sans lourdeur, ni emphase, Tigran Mansurian propose une musique naturelle et lumineuse qui n'aime pas jouer avec les émotions.
Entre electronica et expérimentations contemporaines, Thomas Strønen prouve une fois de plus qu'il est bien l'un des fers de lance de la scène nordique.
