Un rire dans la nuit fait partie de ces nombreux albums qui impressionnent par leur univers graphique mais laissent le lecteur sur le carreau pour ce qui est de la linéarité et de la facilité d'accès de leur scénario.
Imaginaire débordant, humour déroutant : un manhwa qui ne ressemble à rien de connu !
Entre musique écrite et improvisations, Alban Darche propose un album où les différents intervenants tirent tous, en douceur, la couette de leur côté...
Winand impressionne par sa maîtrise de l'instrument "voix", jouant des onomatopées avec une facilité, une aisance déconcertante.
Toute aventure de John Zorn n'est pas sans risque, mais il est évident que le jeu en vaut la chandelle tant l'excitation qui se dégage de l'écoute de ce disque est essentielle.
Gábor Winand chante comme on improvise et improvise comme on chante, jouant des onomatopées comme d'autres font du vélo, dans un univers planant et éthéré.
Entre hip-hop, jazz-electro et poésie, Ladd et Iyer, en artistes militants, réalisent un album intelligent et sans aucun doute l'un des plus excitants de ce début d'année 2004 !
Célébrant deux instruments, deux jeux et deux générations, ce dialogue a sans doute été facilité par le fait que Copland était altiste avant de jeter son dévolu sur le piano.
Le résultat est figé, comme peut l'être un roman photo.
Eblouissant sur la forme, assommant sur le fond, l'Homoblicus est avant tout une expérience visuelle, un hommage à l'expressionnisme allemand et une belle synthèse des extravagances visuelles permises par la bande dessinée.
It's not a trick, it's an illusion !
L'ours et le petit garçon, oeuvre essentiellement visuelle, sera à mettre à destination en priorité des enfants, pour qui le coté immersif sera sans doute plus fort. Une jolie fable.