Comme une fin de soirée dans un taxi new-yorkais, complètement isolé des sons de la rue, Kenny Wheeler nous emporte aux travers des rues alors que là-haut, tout le monde dort.
Gentiment ami ami
Eleni Karaindrou est lumière. Elle est de celles et ceux qui sont partie prenantes de l'âme d'un film, dont la musique est tellement habitée qu'elle se suffit à elle seule.
Permettant d'ouvrir d'autres perspectives musicales, Franz Koglmann développe un univers tragi-comique par ce choc des styles et des instruments tout en gardant une relative cohérence.
Papa est un peu fatigué est un excellent récit de vie sur les thèmes de la paternité, la maladie et le surmenage. L'une des plus belles réussites de l'année, à se procurer sans hésitation.
Un album cohérent, indispensable aux amateurs de manhwas, et une bonne porte d'entrée pour les traditionalistes franco-belges frileux.
Qui n'a jamais vu cette série télévisée américaine sera foudroyé sur le champ par la volonté divine lors de la prochaine apocalypse. Autant vous dire qu'il reste donc peu de temps...
Avec un album encore abrasif, Frank Carlberg, tente de sortir des sentiers battus du jazz vocal... loin des Diana Krall et autres Norah Jones !
Sans étonner les habitués des productions des labels Jazzland ou Rune Grammophon, Merriwinkle séduira sans aucun doute les adeptes d'expérimentations musicales.
Lui qui avait déjà marqué les esprits il y a deux ans avec son album Soul of Things, renouvelle l'expérience avec son jeune trio polonais pour une vraie réussite.
Un cru correct