Avez-vous aussi été le seul témoin d'un événement défiant la loi de la normalité ? Si oui, bienvenue au club de l'Appartement. Amateurs de suspense et d'événements paranormaux, l'oeuvre de Kang Full pourrait vous séduire par son côté atypique.
Une expérience unique
Critique des tomes 1 et 2 : Pendragon est une série agréable à lire même si aucun changement fondamental ne pointe sur l'horizon du 9ème Art.
Une nouvelle console qui tient toutes les promesses d'innovation et de délire qu'elle a pu faire espérer dans le coeur des joueurs et même des non joueurs.
S'ils poursuivent leur travail de déconstruction et de mutation du jazz (souvent free) vers le hip-hop, le spoken-word, l'électronique, celui-ci s'est non seulement durcit vers le rock mais la méthode a également changé.
Introspection à travers des créations tortueuses, improvisées ou préméditées, qui rappellent en permanence le parcours tentaculaire de Dupont et sa grosse compagne...
Il était une fois en Italie... petit retour sur le western spaghetti.
Une adaptation inutile car démesurément simplifiée à moins d'amener des jeunes lecteurs à découvrir les mangas du maître dont Yamamoto glorifie les talents à travers les pages de transition
On se retrouve dans une forêt vierge en compagnie d'un Michael Nyman de triste humeur ou d'un Wojciech Kilar en pleine période Dracula.
Avishai Cohen poursuit sa recherche d'élargissement de sa musique aux influences méditerranéennes dans un désir de réconciliation. Mais à vouloir trop en faire, il finit par se disperser...
Une musique fraîche, vibrante et stimulante où le traitement du son est primordial. Il est alors sans doute préférable d'écouter cette oeuvre au casque pour en tirer toutes les subtilités.
Traumatisant
Le Budapest Jazz Orchestra démontre de manière magistrale que la Hongrie n'a rien à envier aux américains en matière de Big Band !
Rapport 2006 de l'ACBD
Critique des tomes 1 à 3 : Un excellent triptyque, régulier du début à la fin, un parcours sans faute, tout simplement, à conseiller vivement à tous les amateurs du travail de Giroud.
Le cadre est intime et sympathique, et ce soir a séduit quelques touristes américains en mal de cachet parisien. Bien avisés puisque le tour spectacle s'intitule Paris-Terminus...