Il nous manque une véritable caractérisation des personnages, on n'a pour le moment droit qu'à des strips avec chute semi-humoristique, décalée ou contemplatifs
Passionnant, pédagogique et humain, Ma mère était une très belle femme est l'un des indispensables du moment, l'un de ces rares albums à savoir mêler avec justesse histoire individuelle et collective.
Un album où l'intérêt se reporte sur les deux dernières pages indiquant les sources, le bilan est plutôt maigre sur 37 pages de lecture. Sarko 1er symboliserait lui-même le rapport que les médias entretiennent avec le nouveau président.
Le manga est un recueil en deux volumes de cinq histoires chacun, présentant de courtes scènes illustrant la vie de tous les jours de jeunes Japonais.
Les quelques bases scénaristiques de Quartier M ne semblent pas faire le poids face au désagréable et aveuglant feu d'artifice infographique et au surjeu de chaque scène.
Lire le test du jeu vidéo Area 51.
Un spectacle débordant de vie, de couleurs, de sons, de sympathie et d'enthousiasme. Rare et inoubliable.
Le retour des pokemons en petite forme mais avec des rangers. Une histoire de chaussure plutôt sympa. Ah non, on me signale que l'on parle plutôt de forêt et de capture.
Point noir de cette compétition : le vote. S'il en ressort un résultat intéressant sociologiquement il ne l'est en aucun cas musicalement. Celui-ci illustre dans un cas les relations entre pays voisins, dans l'autre la force des minorités ou diasporas dans chaque pays.
La fin d'une attente interminable pour les fans du manga I''s, une bonne petite série animée romantique pour ceux qui ne connaissent pas encore cette oeuvre inoubliable, voilà ce que peut représenter pour le spectateur cette petite série d'OAVs nommée I''s Pure...
On ne pressent rien de folichon pour ce troisième cycle. La qualité continue de décliner, mais la franchise semble toujours bien se vendre... On relira Aldébaran pour se consoler.
Prince Lao est une bande dessinée honnête et sincère, très accessible pour les enfants. Le tome deux marque bien les objectifs que s'est fixé Gauckler à travers cette série.
Une murder party esthétiquement déclinée en jeu vidéo, où l'histoire vous guide, parfois un peu trop, dans un fascinant polar.