La qualité du Fallenfest 2007 n'est déjà plus une question à se poser.
Le Dernier Livre de la Jungle est un recueil. A l'image de Mowgli ressassant son passé, nous suivons avec délectation cette adaptation réussite en songeant au roman d'origine.
Même recette, même succès. Volo revient aux affaires avec Jours heureux, troisième opus du groupe après le premier et le live.
Joann Sfar devient dessinateur de procès, pour suivre celui intenté à Charlie Hebdo, pour avoir diffusé des caricatures de Mahomet.
Avec ce premier album, Jean-Charles Versari tourne définitivement et sans complexe la page des Hurleurs, pour une nouvelle aventure tout aussi excitante.
Eparpillé, parfois au mépris de la reprise d'eux-mêmes, les anglais se décomposent progressivement au fur et à mesure que l'album s'intensifie en brutalité.
La filmographie non exhaustive des araignées vindicatives...
Une aventure égyptienne agréable à lire et à regarder.
Un concert alliant douceur et sourires, et une première partie qui a su elle-aussi récolter des salves d'applaudissements.
Contes chinois et nippons mis en image par un mangaka fort inspiré par... son trait.
György Kurtág a trouvé avec Játékok, un moyen d'expérimenter, de travailler à de nouvelles formes comme une sorte de petit atelier de composition en activité permanente.
Des effets spéciaux qui continuent d'impressionner 50 ans plus tard...
Une excellente surprise. Bien scénarisé, bien construit et bien dessiné, ce manhwa a tout pour plaire.
Un manga pénible à lire et à comprendre, en dépit d'un dessin très propre et soigné.
Coqueluche folk dans l'Hexagone depuis son dernier album, Feist décide de retaper encore plus fort avec The Reminder.
Péma Ling continue son petit bout de chemin. Chaque album est comme une belle pierre à l’édifice de Georges Bess, que l’on contemple avec de plus en plus d’admiration au fil des années.
Vincent Revel et Claire Savigny espèrent nous faire croire qu'une bonne adaptation française de série US n'est pas pure science-fiction. Difficile à imaginer.
Un exercice de style extraordinaire, clairement dans la ligne de l'Oulipo, mais parfois lassant. Etonnant, surprenant, mais peu divertissant.
Belle réussite de la vue subjective dans un polar noir, très noir. Un petit bijou doté d'une force physique des plus violentes. A ne pas manquer !
Une charmante série qui sort des sentiers battus...