La Cible n'est pas un thriller révolutionnaire mais ne fait pas d'ombre malhonnête aux lecteurs qui se risqueraient à entreprendre sa lecture.
Critique des saisons 9 à 13 : la série s'enfonce irrémédiablement dans la médiocrité et la redite, au rythme du départ des derniers représentants des saisons d'origine...
Klébar est une série cocasse mais pas indispensable, qui se feuillette agréablement devant la télé. Le genre d'album qu'on peut offrir sans risque mais sans honte aux gens qu'on connaît mal.
Dans la lignée du précédent album, ce deuxième tome se révèle même plutôt supérieur car plus varié. Pas l'œuvre d'une vie, mais plutôt un regard narquois et désabusé sur une certaine France.
Du très bon (le magazine) et du moyen (le site web) pour cette revue qui saura à coup sûr émoustiller le lecteur curieux et amateur de nouvelles technologies.
Inutile de bouder le plaisir évident que procure l'album. Néanmoins, Julien et Mo/CDM commencent visiblement à se fatiguer de l'humour space opera.
En se penchant sur ce Blackout sans considérer le personnage (perdu et triste) qu'est Britney Spears, on peut l'apprécier pour ce qu'il comporte de mieux, à savoir quelques sacrés bons tubes electro-R&B.
Sole troque sa MPC cradingue pour des compositions foisonnantes, proche du Post-Rock, tout en gardant sa verve assassine et pleine de rage.
Sur les dix titres de In Rainbows, Radiohead excelle dans les ballades chavirantes inspirées et bien pensées. Une belle surprise qui aura aussi fait parler d'elle par son mode de diffusion initial.
Filastine nous entraine dans un tour du monde, SON tour du monde, où chants traditionnels se telescopent avec hip hop et electro taillés à l'or fin.