Thriller hypnotique et lancinant, Les Oubliées ne laisse pas d'autre choix que succomber.
Période 1961-1978 : Goscinny et Uderzo
Pas aussi catastrophique qu'il en a l'air, ce nouvel épisode cinématographique d'Astérix reste une machine à fric sans âme et sans imagination.
Adaptation par Tonino Benacquista d'une de ses propres nouvelles, L'amour cash ne justifie pas réellement une telle opération. Reste une histoire gentillettement cynique. Et non l'inverse.
Même si l'on est encore obligé de s'incliner devant le jusqu'au-boutisme de la démarche, Gescom, sur cette dernière livraison, déçoit.
Partant d'une idée réjouissante, The IT Crowd n'est finalement pas aussi divertissant qu'il le voudrait. La faute aux gags mous et entendus, revus, cent fois revus... On ira voir ailleurs.
Les bases d'un bon Yu-Gi-Oh! sont là, mais l'adaptation pésente quelques lacunes majeures dont l'absence de mode multi-joueur.
Une version PSP de Yu-Gi-Oh! qui commence sérieusement à concurrencer les versions sorties sur DS. Il lui en manque peu pour entrer dans la cour des grands.
A travers la recherche d'un sujet, l'auteur derrière l'auteur met en place d'excellents personnages qui ecrivent leur destin. Un plaisir.
Du concentré d'humour absurde aussi échevelé qu'hilarant. Le petit bonhomme rose et vert est appelé à briller dans la galaxie des héros de l'humour.
Des chansons folk classiques rehaussées d'arrangements de cordes ingénieux et captivants.
Ennuyeux, conventionnel et figé, Bunker n'a rien pour susciter l'enthousiasme. Pas même un peu d'action.
Une réussite inespérée, digne des plus grands spectacles d’aventure et riche en émotions puissantes. Les légendes sont coriaces.
Entre deux livraisons Jazzmatazz, Guru nous balance une mixtape au tracklisting gargantuesque.
Voici le fanbook non officiel (mais presque) du film de Tsui Hark. Sept histoires pour prolonger l'aventure en territoire chinois...
Un texte parfois joli mais pas toujours prenant et un sujet qui semble trop romancé par moments. Le plaisir de lecture et l'immersion dans cette autobiographie s'en ressentent.
Lifeline de Jesu dévoile dans ce mini cd 4 titres un visage toujours plus expérimental et ouvert de Justin Broadrick et de son metal atmosphérique planant. Court mais profondément intense, une fois de plus.