Film à suspense raté mettant en scène un duo improbable et ridicule. Rajoutez deux femmes pour la plastique et vous aurez une suite logique : un film inutile sans profondeur et sans saveur.
Figure certaine de la scène indie parisienne, Hopper sort son nouvel album et en profite pour s'adonner à l'exercice de l'interview automatique.
"Lourdes, vos paupières sont lourdes... Vous dormez profondément... Hé vous dormez profondément normalement !"
David McNamara, psychiatre hypnotiseur
Une des oeuvres majeures de la bande dessinée américaine, autant par sa richesse scénaristique que par son graphisme soigné. Une référence du genre qui ne dépareille pas aux côtés des travaux d'Alan Moore.
A partir d'une idée sympathique, Hitman : Contracts démarre sur les chapeaux de roues l'espace de quelques souvenirs exclusifs pour caler en plein milieu d'un honteux et incompréhensible rabâchage...
Un exposé douloureux des conditions de vie dans un des pires pays de non-droit du monde. Entre le dernier Stallone et ce livre, on peut difficilement continuer à ignorer la situation en Birmanie.
Les héros de Marvel en pleine putréfaction... Une série jubilatoire qui sent la rage, où l'humour et la mort dansent la gigue autour d'icônes de la bande dessinée US.
Derrière un titre plein d’humour se cachent les appréhensions de chacun face à la maladie, face à la mort. Le texte joue les premiers rôles pour aborder de manière sensible un sujet encore tabou.
Un angle passe...
Le Petit Spirou est increvable, et le tome 13 ne lui portera pas préjudice malgré son aura de nombre supposément maudit.
Un classique de l'horreur signé Argento
Un thriller noir et tendu au service d'une cause louable : les abus commis par l'industrie pharmaceutique. Clovis Cornillac est excellent en père animé par la colère.
Retour sur Mezzo : Danger Service Agency, une série diffusée en 2004 au Japon et qui sort enfin chez Kaze en ce début d'année 2008, un anime qui, malgré ses petits défauts scénaristiques, s'avère agréable à regarder...
Roland Emmerich, né au pays de la choucroute, n'a jamais brillé par sa finesse. Sa trilogie des années 90, placée sous le signe du bourrinage, stigmatise bien la cohérence de sa démarche filmique.
Premier album très réussi pour GoGooo dont l'electronica délicate nous a donné envie d'en savoir plus sur ce personnage, le temps d'une interview automatique.
Un instant d’intimité qui filtre entre trois gouttes de pluies, nappes matinales d’un monde qui s’éveille en toute quiétude.
Un classique du jeu de société, permettant de goûter à l'expérience de la murder party sans pour autant sacrifier un de ses amis.
Le Berlinois revient avec un album moins tapageur, plus ensoleillé, propices aux divagations mentales, affalé sur le canapé, l'oeil rivé sur le coin de ciel perlant de votre fenetre.