Violent et magnifique, Ez3kiel est un groupe à part dans le paysage musical français. Et peut-être aussi dans le monde de la vidéo.
Une folk souple qui met en lumière des horizons aussi riches que variés, sans pour autant chercher à ressembler à quelques autres. Être simplement soi, c’est déjà pas mal.
Du glamour, du café, des fauteuils et du wifi. Une jolie promesse malheureusement pas vraiment tenue. Heureusement que les boissons sont bonnes.
Ce qui se présentait comme un album relativement traditionnel, propose un univers à la fois moderne et intemporel.
A l’écart d’un monde qui grouille, Ivo Sedláček offre une parenthèse spirituelle. Il nous montre qu’il est possible de s’éloigner du brouhaha pour trouver l’harmonie.
Si vous pensez que votre formation imposée par les RH est trop rude, venez voir ce que ça donne dans une secte d'assassins iranienne au XIIème siècle. Vous y apprendrez l'humilité et découvrirez le début d'une série très esthétique.
Johanna Wedin alias Mai revient sur son album Still Need a Kiss et s'adonne le temps de neuf questions à l'interview automatique
Une pièce absurde, désespérante et tragique qui nous met face à notre condition de vivant.
Les amours de Yukié ou les meurtres de Yuki ? Si vous avez aimé le manga choc Lady Snowblood, voici son auteur qui nous revient dans un genre tout autre...
Les premières années de Tête de Fer sont pépères : équivalent dessiné des combats de la WWF, elles relatent la série d'affrontements menés par le héros contre une galerie d'ennemis communistes. La complexité, ce sera pour plus tard.
Malgré un sourire lumineux, c’est bien une âme torturée qui transparaît à l’écoute de Still Need A Kiss premier opus de Mai, projet solo de Johanna Wedin, suédoise en exil à Paris...
Un petit groin de paradis ?
Une aventure insipide et guindée qui ne révèle sa véritable nature que dans ses dernières pages, beaucoup trop tard. Le dessin se défend plutôt bien, mais à quoi bon ?
Des chansons populaires portées par une voix d'aujourd'hui, c'est la démarche de Balbino Medellin. Y'a plus qu'à écouter...
Impassible, imperturbable, professionnel et toujours aussi peu amical, Duke Togo est un personnage incroyable qui fait l'essence d'un titre culte.
Si Cher petit trésor se dote d’une meilleure finition visuelle que son prédécesseur, ses histoires étant plus axées sur l’émotion, elles n’arrivent pas toujours à la cheville de l’insolite originel.
Une suite tardive à peine à la hauteur de l'original, dans laquelle seul Benoît Poelvoorde tire vraiment son épingle du jeu. Pas même assez nunuche pour rivaliser avec les autres titres contenant l'appellation « Saint-Tropez ».
Yoko profite de ses origines partiellement chinoises pour faire du tourisme à haut risque entre les mythes et le temps. Trois tomes agréables, sans être les meilleurs de la série.