Alors que le groupe est passé par des moments très difficiles, Daisybox revient avec son album le plus percutant. L’occasion de revenir avec son chanteur sur tous ces évènements.
Pour sa 10e apparition, dans le 5e diptyque centré sur le Vatican, l'agent de l'I.R.S. Larry B. Max se paie le luxe d'être le héros du best seller du mois de mai 2008. Luxe qu'on espère qu'il a bien pensé à déclarer, sinon il va avoir de gros ennuis, vu les méthodes de sa boîte.
Un classique de l'humour absurde, déchaînement de non-sens en territoire ovin. Dargaud sort un superbe best-of pour les 35 ans de la série, on aurait tort de s'en priver.
Pavé burlesque dans la mare du cinéma d'horreur furieusement indépendant, La cité des monstres est un condensé frénétique d'idées, de gags et de maquillages monstrueux. Comme si la série des Y a-t-il ... ? rencontrait Braindead.
Le début d'une nouvelle ère pour Péma Ling, enfin adulte et prête à en découdre. Une belle série d'aventure dépaysante, au doux parfum de classicisme.
Un magnifique livre illustré pour les enfants dont les adultes devraient aussi profiter avec délectation : Pierrot et Colombine revisités par le duo Galliez-Delanssay ne manquent pas de charme.
Galit et Gilad ont harmonieusement marié leurs arts respectifs afin d'enfanter un témoignage très intéressant dans sa forme, son découpage travaillé et sa façon de bousculer une légèreté ambiante.
L'évolution de la société française depuis Mai 68 sous le regard de Laetitia Casta. Une bien belle mise en forme.
Pour sa 21ème enquête, Clifton se retrouve dans la décevante situation de ne devenir qu'un ersatz insipide de James Bond, l'humour en moins.
Les paysages qui mènent à Sion sont vallonnés et chatoyants. Ces complaintes, blues dans l’essence, post-rock dans l’expression, sont des instants d'extrêmes émotions.
Sool, où le bad-trip introspectif d'Ellen Allien, album minimaliste et experimental, tranchant avec ses anciens travaux plus Techno...
Une nouvelle mission réussie pour le commando Torquemada, empêcher sœur Dominique, chanteuse phare de l’Eglise, de débiter insanités et insultes à son public au lieu de prêcher l’Amour du Christ. A lire absolument.
En reconnaissant volontiers les influences croisées de Mogwai, Low voire Arcade Fire, leur originalité leur permet d’avancer fièrement dans un monde de clones.