Par une succession de strips, le Studio Peyo nous raconte le quotidien des Schtroumpfs, et on y découvre un désœuvrement à la hauteur des pires cités HLM.
Magistralement inquiétant, ce dernier opus Arditi atteint une intensité à laquelle il est très difficile de résister, une vision envoûtante de l’héroïsme, fascination guerrière et malsaine...
C’est bien outre-Atlantique qu’il faut chercher des influences. Le groupe avance sans complexe un spleen aux mélodies sensibles, saveur douce-amère qui n’a pas trop à envier à ces grands frères américains.
En 150 ans, l'épopée de Dumas n'a pas pris une ride. Un plaisir pour les grands et les moins grands.
Neuvième parution dans le cadre des Contes du Korrigan, cette petite BD remplit bien
son contrat sans nous en mettre plein la science.
Fifi Brindacier, la petite fille exubérante que tout le monde connaît, a plus d'un tour dans son sac et ne cesse d'émerveiller les enfants. Mais replacer l'oeuvre dans son contexte historique révèle en fait un récit bien plus subversif qu'il n'en a l'air...
Pour Roald Dahl, fini la chocolaterie : en 1982, l'aliment principal de ce livre pour enfants est... l'être humain lui-même. Heureusement que le Bon Gros Géant ne mange pas de ce pain-là.
Tout dans les mollets, rien dans le cervelet. Le Hulk nouveau est arrivé, et il ne fait pas dans la dentelle. Dommage, la présence d'Edward Norton et Tim Roth laissait espérer un peu plus de substance.
Un livre qui remet la réalité à sa place en lui redonnant ses lettres de noblesse et un peu de panache, s'adaptant à une vision du monde incroyablement fabuleuse et pleine de sens et contre-sens.
Bien avant le Chat potté à épée de Shrek, Marcel Aymé séduisait petits et grands enfants avec ses Contes du chat perché, où la simplicité, l'humour, et le rêve règnent.
Le quatrième tome de cette série de thriller soi-disant alto-médiéval nous berce gentiment par la lenteur de son rythme et le mystère de ses références.