Étonnant, Third montre que Portishead n’a rien perdu de sa superbe, bien au contraire, les britanniques nous font comprendre qu’ils ont encore des choses à nous enseigner...
Dupa n'est plus. Vive Dupa ! Cependant Cubitus n'a pas fini à la SPA. Recueilli en 2005 par Rodrigue et Aucaigne, il tente de rire, mais la magie n'est plus.
Si l’on suivra cette formation sans trop rechigner en raison d’une certaine personnalité, ce n’est pas pour autant que l’on s’abandonnera au moindre de ses désirs.
On sent à l’écoute de Rook, tout le soin qui a été apporté à son élaboration, un réel amour pour le travail bien fait. Juste superbe !
Charlemagne et ses potes se coltinent toujours de la créature mythique : sans aller jusqu'à dire qu'on s'ennuie, il faut bien admettre que ce nouveau tome ne déchaîne aucune passion.
Meryl Streep, Pierce Brosnan et leurs potes chantent ABBA. On est content pour eux, mais ils pourraient aussi bien le faire sous leur douche.
D’envoûtants paysages sonores, des nappes lunaires, The Notwist réalise un album saisissant de maturité et pourtant au combien riche en émotions.
Plus pop que les précédents, Johannsson revient tout bêtement au format chanson, rappelant à ceux qui l’auraient oublié qu’il est songwriter avant tout !
Une suite qui garde intact le plaisir de la rencontre avec une Miss pas touche toujours aussi teigneuse, dont les soucis changent de teneur mais ne cessent pas - encore heureux, sinon il n'y aurait plus rien à raconter.
Death magnetic revient clairement aux sources de Metallica, en ajoutant des éléments des trois derniers, tellement décriés. Une bonne surprise.
Cordes et piano s’acoquinent de petits objets et autres instruments précieux pour donner un peu d’intimité aux grands espaces… entre musique classique et ambiances folk.
Ballades sombres et feutrées, portées par sa voix caractéristique, grave et un brin cassée. Un parfait désenchantement dans un nuancier de gris… à savourer !
On ne juge pas un livre à sa couverture. Il ne faut donc pas s'y tromper : ce n'est pas parce qu'Edika change de jaquette qu'il retourne pour autant sa veste, car il sait faire une bonne soupe dans un nouveau pot plutôt qu'un bouillon dans le... la... enfin vous voyez, quoi.
Fidèle à la série mais un peu timoré, ce Max la Menace cinéma sous-exploite son potentiel. La double approche espionnage/comédie aurait pu décupler le rythme, elle se contente de le paralyser un peu.