Godard réunit deux univers et offre de nouvelles perspectives, des couleurs inhabituelles dans des compositions fluides. Archangelica se révèle un album intrigant.
Les aventures d'un chat venu du futur pleines d'humour !
Un rock instrumental mouvementé et hypnotique qui tire du côté du post-rock, du math-rock, armé de guitares qui tricotent, dans des mélodies chargées d’émotions et de mélancolie.
Une saine collaboration faite de boucles et d’ondes, de variations électroniques, des résonances artificielles qui pourtant aura sens dans l’oreille de l’auditeur curieux.
Koh Lanta ? Désolé, connais pas. Mais ça ne nous empêche pas d'en parler. Transversalement, du moins. Et puisque des pages éparses de plusieurs journaux intimes ont été retrouvées, autant en profiter :)
2008 semble être du meilleur effet sur ceux qui plongeaient, il y a quinze ans, dans les joies de l'électro et s’il n’est plus vraiment un Kid, Loco a définitivement de quoi faire la leçon !
Ingmar faiblit dans cette troisième aventure moins inventive et enthousiasmante. La mise en couleurs radicale permet cependant un bon trip au lecteur qui veut planer.
Les heures de raison sont de ces disques tranquilles que l’on écoute l’été, un peu en retrait du monde, peut-être un après-midi dans le hamac après un déjeuner entre amis...
Bouuu-ouuhhh voici venu l'Exorciste au pays des mangas !
On oublie les écarts ragga, les vocaux féminins pas toujours bienvenus, pour retrouver le plaisir brut de cette voix qui racle comme celle d’un cancéreux...
La famille moderne et pluricellulaire vue par Jannin et Catheline donne une quatrième occasion de rire de choses plutôt désolantes.
Mauvais coups et réflexion sont au menu de cette belle réussite du créateur du jeu de cartes Magic The Gathering.
Si ce songwriting paraît relativement conventionnel, la sérénité qui se dégage d'American Mystic est saisissante et le rend des plus attachants...
Et si Shéhérazade était un mec ????
Quatre pièces pour presque soixante-dix minutes d’errances, de guitares sous effets, de nappes synthétiques et de batteries fonctionnant au ralenti, lourdes et massives...
Le premier tome de Climax n'était pas bien folichon. Dans le deuxième, l'impression se confirme : le froid, ça engourdit. Arrivés au tome 4, on sera devenu de gros blocs de glace.
Jaoui, Bacri, Debbouze. Vous n'y croyez pas ? Il fut un temps, nous non plus, mais l'évidence est là : tout le monde est à sa place, en tant que comédiens. Mais peut-être pas leurs personnages...
Mirrors est un film plutôt efficace mais qui ne renouvelle malheureusement pas le genre horrifique. A voir pour se faire peur.