Wolverine commet ses frasques à Madripoor et il n'est pas là que pour mettre un bandeau sur son oeil et prendre des bières entre amis. Il va rencontrer Hulk, des sectes démoniaques et repenser à l'époque où il coupait du bois dans les forêts canadiennes en petit marcel.
Dustin Hoffman en producteur un poil loufoque mais terriblement joueur, prêt à faire une fausse guerre pour aider son président. Non pas qu'il l'aime... mais ça l'amuse !
Imaginez qu'il ne reste plus qu'un seul homme sur Terre. Mais que toutes les femmes aient survécu. Serait-ce le paradis pour ce mâle solitaire ? Pas vraiment...
Dustin Hoffman contre le virus Motoba. Une bonne aventure menée tambour battant par un Wolfgang Petersen en forme.
Giroud et sa grande expérience de scénariste nous entraînent dans les dessins de Stalner pour une histoire certes bien menée, mais qui sent tout de même le manque d'originalité.
Jon Voight est le cowboy du macadam dans ce parcours désillusionnant sur la face cachée de l'American Dream. Dustin Hoffman sert essentiellement à lui donner la réplique, mais sa composition de boiteux bidouilleur est mémorable.
Les joueurs qui n’ont pas foutu un seul pied dans Crysis seront pétrifiés par ce stand alone qui ne s’embarrasse ni de révélations, ni d’interactions significatives avec le périple vécu précédemment par Nomad.
Un one-shot de nouvelles dans la veine des productions de Mari Okazaki. Rien de nouveau mais les amateurs apprécieront.
Dans Smallville, on "crédibilise" les méchants en les représentant sous la forme de beaux gosses branchouilles... Quel aspect pourraient prendre les affreux à venir ?
Vous vous sentez l'âme d'un maire, d'un bâtisseur, d'un créateur ? La saga de Will Wright vous a par le passé permis d'assouvir vos pulsions, il est grand temps de voir ce que la Wii peut nous réserver dans le domaine des city builder...
Vincent Cassel habite le rôle de Jacques Mesrine, bandit violent attiré par la lumière des projecteurs. Mais Jean-François Richet use trop de l'ellipse pour offrir un regard vraiment intéressant sur un personnage qui prête pourtant le flanc au débat.
Troy et Gabriella débarquent au cinéma, avec quelques chansons en tête, ainsi qu'un bon paquet de sentiments Disney.
High School Musical, Who says we have to let it go ?
Un cran au-dessus de deux premiers tomes trop calibrés, ce nouveau volet accueille le dessinateur de Dantès. Rien d'indispensable pour autant, et les trois tomes à venir ont encore la possibilité de tout pourrir.