Drôle et énergique, la pièce offre une belle alchimie entre une Florence Foresti au tempérament comique avéré et un Philippe Elno peu connu mais parfaitement à la hauteur.
"Rembrandt, triste hôpital tout rempli de murmures et d'un grand crucifix décoré seulement, où la prière en pleurs s'exhale des ordures, et d'un rayon d'hiver traversé brusquement" (Baudelaire)
La recette change peu d'album en album, mais tout comme en cuisine, changer de seulement quelques minutes un temps de cuisson peut s'avérer payant.
Un bon petit jeu dans lequel les joueurs incarnent des Gnomes pris au piège dans un sous-marin qui tombe en pièces et se prêtent mutuellement main forte pour tenir jusqu'à l'arrivée des secours.
Line Renaud et Muriel Robin se donnent la réplique sur un texte inhabituellement faible de Pierre Palmade, co-écrit par Christophe Duthuron. Evitable.
Un des Grands Classiques Disney nous revient dans une édition anniversaire très réussie et très complète, après une carrière de près de cinquante années.
Un scénario trop alambiqué, des personnages peu crédibles. On attendait plus d'un scénario et d'un dessin d'une originalité surprenante. En espérant que le 2 soit de meilleure facture.
Version cinéma de l'émission J'irai dormir chez vous, cette traversée des Etats-Unis par Antoine de Maximy ne manque ni de piquant ni de rythme.
Il n'en faut pas beaucoup pour dire que Life est un manga choc. A travers le quotidien de son héroïne, découvrez le monde sans concession des lycéennes japonais.
Bien que la couverture soit peu engageante et devant l'appréhension communément admise face aux ouvrages qui traitent d'un complot épiscopal, il faut admettre le vrai plaisir que l'on retire de cette lecture.
Danzaisha, c'est deux fillettes qui usent de toute arme pour purifier le Mal absolu. Bien mais aurait pu mieux faire...
Du Yoko des premières et des dernières années, juxtaposés autour de la thématique des robots. Leloup a quand même bien balayé le spectre des thèmes abordables en science-fiction.
End War permet enfin au joueur "console" de profiter d'un jeu de stratégie en temps réel de qualité où la voix permet de donner ses ordres. Essai presque transformé.
Bien filmé, écrit avec intelligence, la dernière livraison de Clint Eastwood n'en distille pas moins un parfum d'ennui et de mollesse. Dommage.
Avec une équipe féminine pour la partie graphique, sans que cela ne soit visible si on ne le sait pas (et même alors), Istin rajoute une couche d'arthurien dans Soleil Celtic.
Roschdy Zem, Marie Gillain, et Jean-Paul Rouve partent à l'assaut de la grande tour ! Et c'est Pierre Jolivet (à ne pas confondre avec un des nombreux autres Jolivet du monde du spectacle) qui nous filme ça !
"Branchez la guitare, chantez la guitare, je m'en fiche, je préfère le rock, allons enfants, jouez!"
Hé oui, je suis une légende, moi aussi, et sans me coltiner de zombies !