Dans le sillage de La légende de Nicolas Sarkozy, les éditions Carabas tentent de capitaliser sur l'image de son adversaire malchanceux. Le sujet est bien moins porteur, et le résultat laborieux ne provoque guère plus qu'un sourire.
Très bon jeu proposé par Nintendo. Malgré le problème d'habillage et les capacités plafonnées de la machine, un jeu rythmé, agréable et à la jouabilité hyper équilibrée.
Non content de survivre, les terribles Locustes reviennent donner du fil à retordre à Marcus Fenix dans une franchise qui ne cesse de repousser les limites techniques en même temps que celles du joueur.
Boire ou conduire, faut-il choisir ? En tout cas, après avoir vu Le transporteur 3, on a envie de boire. Beaucoup. Et pas de l'eau. Espérons que Luc Besson ne passe pas la quatrième sur cette franchise-là.
Spectrobes nous revient dans une suite un cran au dessus de l'original, mais toujours tirée vers le bas par des défauts techniques et de très bonnes idées mal maitrisées.
Un duo de réalisateurs français chasse le grand dragon Pixar de son terrain favori. Ça ne sera pas pour longtemps, mais l'encartade est d'une assez bonne qualité pour être appréciée par la masse.
Deux extensions et quatre années plus tard, les développeurs allemands de chez Ascaron sortent enfin de l’ombre avec une préquelle, se déroulant une fois encore dans l’univers fantastico-médiéval de Ancaria.
Un Joaquin Phoenix des grands jours, sous l'oeil méticuleux de James Gray. Une histoire d'amour, certes, mais bien plus profonde que l'on pourrait le croire.
Un film mineur abordant la condition de la femme au XVIIIème sièce, crédible dans son propos mais un brin archaïque. Keira y est déchirante.
Sorti de prison avec l'aide du Punisher, le diable de Hell's Kitchen est désormais en cavale. Quel meilleur moment pour visiter Paris ? Le scénariste Ed Brubaker ramène doucement le personnage dans ses rails d'origine, avec application mais sans génie.
Madagascar corrige le tir et propose un spectacle assez crédible, même si les zygomatiques ne seront pas forcément très sollicités.
Un titre de jeunesse de la paire Tajima & Otsuka. Jeunesse est un mot gentil pour dire aussi pas fameux...
Une pléiade de célébrités empilées dans un gloubiboulga sans queue ni tête, dont le seul intérêt réside dans son dérapage progressif vers le loufoque surréaliste.
La seule façon de répondre à la question : « mais quel métier peut bien faire un blouson noir ? »
Gaudin et Danard produisent leur neuvième album autour de Marlysa, et même si les ingrédients du succès sont au rendez-vous, l'intérêt de l'histoire reste douteux.
Après une expérience scientifique auprès d'une dizaine de cobayes, il a été reconnu qu'I love you possède des vertus magiques, améliorant le moral et la santé.