Deuxième réalisation de Pef, des ex-robins des bois, King Guillaume peine à toucher autant que l'avait pu faire Essaye-moi, et n'amuse pas autant qu'il aurait pu malgré son casting.
La suite de High School Musical, toujours destinée à la télévision. Produite rapidement, la série monte d'un cran en chorégraphie mais dégringole sur pratiquement tout le reste.
La trilogie de Marazano et Ponzio trouve ici une conclusion logique. De la science-fiction intelligente, voire intellectuelle, somptueusement illustrée à grand renfort de photo-réalisme.
Cet album particulièrement adapté aux tout-petits par la légèreté de son histoire et de son univers, est également un bel objet de convoitise pour les amateurs plus âgés d’audaces et de recherches graphiques...
Bec n'est pas un familier du travail en solitaire, et c'est dommage. Quand il s'y colle, on peut rester scotché.
Ce tome n'est pas mauvais, il est juste insipide et n'apporte rien à l'histoire globale ; à moins de suivre la série depuis le début, vous pouvez largement vous en passer.
Le "phénomène" High School Musical n'a pas commencé au ciné, mais à la télé. Retrouvez les premières vocalises de Troy et Gabriella dans cet épisode qui n'a presque rien à envier à l'opus ciné.
Deux ans et demi après le premier tome de cette saga qui promettait alors énormément, les auteurs nous confortent dans l'idée que du travail naît la qualité.
Les frères Winchester traquent les démons dans l'espoir de venger leur mère. Un feuilleton haletant mais un brin répétitif, une sorte de X-files allégé en matière grise.
Condensé des souvenirs de quinze personnages haut en couleurs, Tiroirs secrets nous emmène fouiller dans les univers d'un mendiant, d'un boucher, d'une fourmi ou d'un mauvais élève...
Vous n'en pouvez plus de ce joueur de cartes invétéré qui ne veut plus vous lâcher les baskets depuis plus de dix ans. Dommage, il revient encore...
Un titre tout à fait dispensable sur l'univers des monstres nippons. Et d'un serrurier maître des clefs. Quand le Passe-Partout de Fort Boyard influence le manga...
Suite et fin de la saga "à la 24" orchestrée par Stephen Desberg. Le rythme ne mollit pas, et le récit d'espionnage se dote d'une pointe de mysticisme/fantastique. Le tout reste très convenu.
Edouard Baer reprend sa pièce au théâtre Marigny. Une pièce à voir en 360° et totalement à mourir de rire pour peu qu'on aime l'absurde...
Rapport 2008 de l'ACBD
Cette traduction de Sagas islandaises par Régis Boyer est le meilleur moyen pour dépasser les préjugés que l'on peut avoir sur ces peuples qu'on appelle les Vikings, et pour finalement les admirer.