Sans doute pas aussi réussi que L'étrange Noël de M. Jack, mais on y retrouve la personnalité de son réalisateur Henry Selick, servie par de nouvelles technologies et une histoire universelle.
Denis Lapière et Ruben Pellejero : peut-être attendait-on trop de ce duo talentueux, mais cette romance latine, toute authentique qu'elle soit, n'a rien pour marquer durablement les esprits.
Loin de l'insipide Da Vinci Code, Anges & Démons est une efficace course contre la montre qui fait fi de toute crédibilité. Mais du coup, ça passe mieux.
La vavache elle rerevient, mais papas toutoute seule ! Coucousin pinpin arrive dudu haut de son aigle vovolant ... Et ça vava boubouger !
A la croisée du cinéma d'épouvante de l'âge d'or et du super-héroïsme torturé tel qu'on le pratique aujourd'hui, Darkman reste à ce jour le meilleur film de Sam Raimi, qui se contentera d'en décliner une version familiale dans Spider-man.
Marvel tente de se créer un équivalent de Watchmen, avec l'aide du scénariste J.M. Straczynski. L'effort est laborieux et les personnages ne sont pas tous intéressants, mais quelques éclairs zèbrent l'ensemble.
Un making-of massif de Watchmen, qui présente l'intégralité des crayonnés mais ne donne pas l'impression de rentrer suffisamment dans les rouages du processus de création. En gros, il manque le point de vue d'Alan Moore.
Avec BattleForge, les mêmes démiurges sont cette fois-ci parvenus à associer trois genres différents.
Une huitième saison qui avait des airs de grand final... Mais en fait, non. Clark est pourtant quasiment devenu le Superman que tout le monde attendait, et la série risque de ne plus retrouver l'énergie qu'elle déploie ici.
Ce premier opus, d'une trilogie ancrée autour du personnage mystérieux de Rosalie Blum, nous apparaît comme l'ouverture très prometteuse d'une histoire en apparence pourtant bien ordinaire.
Johnnie et Johnny s'allient pour un "Charles Bronson à Hong Kong" plutôt primaire mais pas dépourvu de panache. Sa présence en compétition à Cannes reste pourtant assez mystérieuse.
MySims Party essaye de se faire une place au soleil des Party Game sur Wii. Un essai manqué dû à un manque de fun évident pour ce style de jeu.
La signature de la géniale créativité d'Arkedo et de son rêve à l'état pur est un peu gâchée par quelques imprécisions tactiles et une trop importante difficulté du jeu à certains moments.
« My name is Gladiator ». Un méchant de l'âge d'or ressurgit dans les pages de Daredevil... Mais les apparences ne sont-elles pas trompeuses ? Un récit solide qui appelle une suite de toutes ses forces.