Ce premier opus, d'une trilogie ancrée autour du personnage mystérieux de Rosalie Blum, nous apparaît comme l'ouverture très prometteuse d'une histoire en apparence pourtant bien ordinaire.
Johnnie et Johnny s'allient pour un "Charles Bronson à Hong Kong" plutôt primaire mais pas dépourvu de panache. Sa présence en compétition à Cannes reste pourtant assez mystérieuse.
MySims Party essaye de se faire une place au soleil des Party Game sur Wii. Un essai manqué dû à un manque de fun évident pour ce style de jeu.
La signature de la géniale créativité d'Arkedo et de son rêve à l'état pur est un peu gâchée par quelques imprécisions tactiles et une trop importante difficulté du jeu à certains moments.
« My name is Gladiator ». Un méchant de l'âge d'or ressurgit dans les pages de Daredevil... Mais les apparences ne sont-elles pas trompeuses ? Un récit solide qui appelle une suite de toutes ses forces.
Le roi serpent revient pour nous apporter un beat'em all pas très beau mais ô combien prenant pour peu que l'on adhère à la série des Dynasty Warriors et Samurai Warriors.
Nouvelle vedette de chez le Lombard à chercher son style dans le genre des intégrales, Yakari nous rappelle qu'il est le master du poutou sur la truffe.
Ennui britannique dans un film au scénario désuet et finalement bien fade. Le réalisateur de Priscilla folle du désert, après dix ans passés loin des caméras, semble avoir les articulations rouillées.
Si vous n'avez jamais vu une vache écouter de la musique au casque ou un indien qui mixe dans une boîte de nuit, il est temps de regarder Panique au village.
Un album centré sur les déboires d'un vampire souffreteux malmené par Mélusine et ses amies incompétentes. Une franche réussite qui prouve que la sorcellerie conserve mieux que le E210, le E242 et le E214 réunis.
Contre toute attente, la fin épique tissée par Chris Claremont pour les X-men est une amère déception, tandis que le récit brutal et intimiste de Paul Jenkins et Claudio Castellini pour Wolverine est un bijou.