La conférence Nintendo à l'E3 annonce la sortie prochaine de futurs hits comme Zelda, Mario ou Metroid Prime. A côté de cela, calme plat, malgré l'impression de se faire avoir avec le Wii Vitality Sensor.
Compter les moutons pour s'endormir peut se révéler une activité extrêmement dangereuse comme le montre ce petit conte coréen tout en couleurs...
Réédition de Tueur de Cafards, accompagnée de trois œuvres devenues rares de Tardi, Grange et Legrand autour de New York. Saisissant.
Une platrée de personnages souffrant dans leurs amours sous la plume acerbe et tragi-comique de Kyoko Okazaki, c'est toujours l'occasion de livre un seinen social noir !
Cameron et Schwarzie rempilent pour une suite consensuelle, hollywoodienne, pleine d'incohérences mais qui marque le public de l'époque par ses effets spéciaux révolutionnaires et ses séquences d'action ultra-cools.
Ubisoft à l'E3 annonce ses prochains jeux. Pas d'annonce fracassante, et pas assez de matières sur Assassin's Creed... juste un trailer. Somptueux par ailleurs, mais pas d'ingame.
Electronic Arts dévoile ses prochaines sorties à l'E3, notamment un Star Wars, The Old Republic majestueux dans un trailer digne d'un film. On vous épargne les jeux pour midinettes qui parviennent à faire rire une salle comble.
Microsoft a beaucoup de matière à présenter cette année à l'E3. Le Project Natal, c'est tout un programme qui pourrait faire peur à la Wii... tandis que la lineUp pourrait faire frémir Sony !
Looking for Eric est la chronique d'une vie partie à vau-l'eau mettant l'homme et ses peurs, ses doutes et aussi ses espoirs au centre du monde.
Le nouveau mélo d'Almo, qui aime toujours autant son égérie Penélope Cruz que le cinoche en général. Sans doute un peu trop long vers la fin, mais le plaisir est là.
La saga de Luther Arkwright trouve une conclusion (provisoire ?) dans ce dernier tome plein de bruit et de fureur. Le final est un chouia décevant, mais la barre avait été placée si haut...
L’intérêt de cet album tout en volume et à l'ambiance mystérieuse, réside davantage dans le soin de ses décors et de ses prises de vues que dans l’histoire elle-même.
Un film destiné à la gente féminine, et encore. Le peu d'attraits et l'indigence de l'ensemble aura tôt fait de le jeter dans les bacs à DVD en promo.
A l'occasion de la sortie de son premier album solo, Bebly se laisse aller le temps d'une interview automatique...
Des petits animaux chelous qui fonctionnent à l'affectif dans un petit jeu de rôle légèrement bébête, mais tellement efficace qu'on se prend au jeu à tout âge et sans y réfléchir. Un pur plaisir au final et dans la meilleure version possible qui plus est.
Un très bon compromis d'action et d'aventure pour ceux qui veulent passer un grand moment d'apesanteur rappelant un peu Prince of Persia et légèrement Mirror's edge. Un grappin qui vous emmènera loin mais pas non plus jusqu'au pays des rêves.
Il y a plus de cinquante ans, le premier être vivant était envoyé dans l'espace par les Russes. Un toutou condamné à périr dans les étoiles, dont Nick Abadzis raconte la destinée avec pertinence.
En 1984, James Cameron et Arnold Schwarzenegger décrochaient la timbale avec un petit film d'action ancré dans une science-fiction échevelée. Ils étaient loin d'imaginer que l'histoire continuerait 25 ans plus tard.
Un très grand titre qui nous fait voyager dans le magnifique pays de l'octogone. Dès qu'on en sort on est déçus par contre : interface assez ronflante malgré une musique bien choisie et des éléments de design très chouettes. Le gameplay est exceptionnel et les phases de jeu quasi parfaites. Un bijou.