Déjà 4 ans pour notre petit E3 à nous, et un espace d'exposition de 20 000 m² pour découvrir les hits et les coups de coeur de demain.
Le secret de l'adaptation réussie est de parvenir à conserver intact l'esprit de l'oeuvre tout en la malmenant suffisamment en osant changer ce qui passe mal à l'écran.
La tension retombe un peu après un deuxième tome haletant, mais l'intrigue prépare le terrain pour un final impitoyable. L'heure de la vengeance va bientôt sonner pour le trader manipulé.
360° flirte en qualité avec les indispensables Ideal Crash de dEUS ou le récent Plan Your Escape des Girls in Hawaii... pas besoin d'en dire d'avantag.
Le duo Rouve-Berry fonctionne à merveille, dans un film qui repose essentiellement sur un scénario et des dialogues comiques parfaitement étudiés. Le coach aurait pu être fait par le Francis Veber des bonnes années.
Et si pour s'enrichir, il suffisait d'être débrouillard et un peu (beaucoup !) menteur ? Ce qui est sûr, c'est que le plaisir et le sourire accompagnent la lecture de cet album tout le long, alors au diable les beaux principes !
Le tome 4 fait dans le train-train d'un groupe de personnes entourées de morts vivants. Entre deux giclées de cervelle, nous retrouvons nos héros aux prises avec l'ouragan de leurs émotions et le poids des responsabilités. Un opus prenant et toujours aussi maîtrisé.
Le quotidien d'une jeune dessinatrice accompagnée de deux chats et d'un grand nombre d'amis farfelus. Rires assurés.
Une histoire de super-héros déchu qui part en vrille pour aboutir totalement sur un autre sujet et un dénouement inattendu, c'est l'heureuse surprise qui se cache derrière Z le chat.
Une fantaisie héroïque aux accents connus mais à la mélodie inédite, signée du duo de Sälem la Noire et Acriborea. Les prémisses sont prometteuses, reste à voir si la suite sera à la hauteur.
IL-2 Sturmovik s'essaye au monde des consoleux, mais le jeu reste peu accessible pour les non spécialistes du genre. La qualité graphique est bien là, mais le fun étant aux abonnés absents pour les réticents des gunfights aériens, il est conseillé de l'essayer avant d'acheter !
Une preview qui nous fait un peu palpiter à l'avance sur un résultat final qu'on espère historiquement complet ainsi qu'un nombre de modes de jeux qu'on espère viable sur le live pour une fois. A suivre, mais bonne pioche pour le moment.
Deuxième tome des Annales du Disque-Monde, Le huitième sortilège lève le voile sur l'univers des sortilèges de ce monde fou-fou-fou.
Age of Empires III n'est pas qu'un jeu vidéo. C'est aussi un jeu de société doté de mécanismes de placements. Exit les grosses bagarres à outrance, place à la gestion et aux découvertes.
Cyril Pedrosa continue d'auto-croquer brillamment sa vie de famille écolo-bobo, toujours partisan du « faites ce que je dis, pas ce que je fais, sauf quand j'arrive à faire ce que je dis que je vais faire ».
Nazis et surnaturel réinvoqués pour une remise à plat de Wolfenstein. Pourtant, rien n'a réellement changé. On tue toujours linéairement, et le décor n'est même pas à la hauteur.