Robinson Crusoé serait donc le fils caché de Tarzan et Robin des Bois... Une série-nanar d'une seule saison (pour cause de bide !), ludique mais d'une bêtise vertigineuse. Sam Neill et Sean Bean jouent les guests prestigieuses.
L'épopée wagnérienne d'Alex Alice continue sur sa lancée, avec une Walkyrie qui ne chevauche pas beaucoup mais illumine l'album de sa présence. Vivement la suite et fin.
Sous des allures de film de série B, Pandorum propose un cadre désuet et des monstres déjà vus. Bien loin de la classe d'un Alien, ça se regarde, mais sans contemplation.
Japonais en terrain étranger, ça peut donner un touriste avec son Nikon autour du cou ou bien une version un peu plus musclée comme dans Gringo.
Album collectif mettant en avant la co-scénariste de Sinbad, Audrey Alwett, et ouvrant à l'occasion une nouvelle collection de Soleil, 100 % girly, mais tout de même un peu dark.
De la science-fiction au style rugueux et inédit, proposant une plongée sans gilet de sauvetage en pleine ségrégation humains-aliens. Un des grands films de l'année, révélant un cinéaste qu'on espère revoir rapidement à l'œuvre.
Madden NFL 10 est le meilleur épisode de la licence. L'exploitation des consoles actuelles semblent être au point chez EA Sports, avec une réalisation aux petits oignons, et des modes de jeux en pagaille. Pour les quelques fans français, ce n'est que du bonheur ! Pour les autres, ce jeu et cette discipline resteront une énigme.
Une petite merveille de fun au concept super simple et à l'humour rafraîchissant qu'on ne peut plus lâcher dès lors qu'on s'y est essayé. Vous avez remarqué ? Zuma à l'envers, ça se lit Amuz !
Le deuxième diptyque trouve ici une conclusion en demi-teinte, toujours dans l'esprit de cette excellente série Poisson Pilote. Décidément, les Kerascoët ont la main dans les meilleurs projets du moment.
Une comédie romantique "à formule", où le couple vedette un peu fade s'ébat au milieu de rebondissements poussifs. Restent quelques personnages secondaires.
Didier Super de retour dans un concept de reprises étonnantes. Ou comment flinguer des chansons à coup d'énergie délirante et de chant... hum... criard ?!
Antipop Consortium revient avec un grand album, parfait équilibre entre expérimentations escarpées et morceaux imparables.
Excellent titre à la fois complet, beau, réaliste et remarquablement fourni en options. C'est du pur bonheur. C'est du quasi parfait.
Fred Bernard et Jean-Jacques Rochette proposent ici un one-shot qui, sur fond de catastrophisme écologique, se révèle être un ouvrage à la limite de l'essai de psychologie.
Les hostilités sportives de la rentrée commencent avec le match d'EA contre 2K. Ici, le terrain est une patinoire. 2K nous a livré une copie loin d'être plaisante. La faute en revient principalement à un jeu très lent et pas glamour.
Torturés, humiliés, mutilés, les trois prisonniers font peine à voir. Le Gouverneur devient de plus en plus sadique et rien ne semble l'arrêter. La détermination de nos héros pourrait sûrement inverser la tendance.
Le concombre a 44 ans ! Lovelace Cucurbite continue sa trajectoire absurde sous l'égide du fan de calembour Mandryka. Mais le surréalisme sur 62 pages, c'est comme l'éternité : un peu long vers la fin.
Quand la Mort veut prendre du recul pour pêcher et qu'il cherche un apprenti, c'est le pantalon du temps qui est décousu.