Ouverture d'une saga SF à la frontière entre Starship Troopers et Jeremiah, qui parvient à dépasser ses références pour se placer comme objet propre.
Le fantastique côtoie la sobriété des années 70, l'angoisse côtoie l'ennui. Appuierez-vous sur le bouton de la machine, pour prendre un ticket ?
L'un des couples les plus curieux de la galaxie Marvel, composé d'un androïde et d'une mutante, est résolu à donner la vie malgré leurs familles hautes en couleurs et leur voisinage hostile.
Un one-shot d'auteur qui se noie dans la volonté de bien faire au point de désintéresser le lecteur par son univers propret et des histoires tirant trop sur les sentiments...
Le shôjo dans toute sa splendeur revient avec Five. Les mateurs remarqueront le trait bienvenu d'une mangaka à retenir.
Préavis de mort sur les jeunes japonais avec Ikgami qui pose une vraie question de société. Peut-on sacrifier un individu pour le bien-être général ou l'humanité doit-elle rester solidaire ?
Laissant un peu de côté les interventions magiques pour se concentrer sur les répercussions humaines de l'histoire, ce tome gagne en cohérence.
Codemasters prend la relève de Bohemia Interactive, sept ans après Operation Flashpoint, avec un défi de taille : adapter le FPS tactique PC et en faire un FPS tactique multi plates-formes. Pas si simple.
Adaptation en comics d'un jeu connu pour ses passages en vue subjective, cet ouvrage étaie un peu son propos et se résout dans une très bonne lecture.
Le baron (de) Münchhausen (avec un h ou deux, avec ou sans accent), bien qu'ayant vraiment existé, s'est rapidement confondu avec son alter-ego le baron de Crac, voyageur fantasque en perpétuelle vadrouille entre Saint-Pétersbourg, la Turquie et la Lune.
La magie d'Olive-Oued envahit le cœur du brave Victor Tugelbend. Délaissant ses études lucratives, il part à l'assaut du rêve morporkien, un rêve de trolls et de princesses à sauver.
Un petit Jeunet, qui recycle un peu poussivement les univers de ses films précédents pour étoffer une charge assez primaire contre les marchands d'armes. Les idées bouillonnent, mais n'ont pas grand-chose à cuire.
Avec cette Eco : La Malédiction des Schaklebott, nous refermons un premier recueil de la trilogie vraiment fascinant, regroupant une histoire à la fois référencée, classique et symbolique, et une iconographie aussi singulière qu'hypnotisante.
Terreur est un album aux dessins magnifiques, servant hélas une intrigue qui l'est nettement moins. Même pas peur !
Après une collaboration somme toute assez médiocre, ce trio d'auteurs repart d'un bon pied sur une histoire sensiblement équivalente, pour un résultat bien plus encourageant.
Le conte de fée vire au gore à grands coups de tatane. Du old school remis au goût du jour qui laissera le joueur un peu ennuyé, voire carrément furax de se répéter autant.