Libon rajoute une couche à la chronique placido-bébête du petit lézard géant qui sème la panique malgré lui. La série tourne en rond, et menace de sombrer dans la léthargie.
Esther, la gamine qui fout les jetons sur l'affiche du film, n'a pas fini de faire rire lors d'un twist absolument étonnant et pour le moins osé. Cinq lignes pour parler de la qualité comique d'un film d'horreur, c'est de la place perdue.
De Londres à Villefranche-sur-Saône, le personnage passe la Manche comme une frontière entre le camp des suspects à celui de la Loi, mais la foison des propos empêche le lecteur de vraiment le suivre.
Démons extérieurs et intérieurs mènent la vie dure à Solomon Kane, ex-guerrier sanguinaire reconverti dans l'amour du prochain. De l'heroic fantasy brutal et bien ficelé, sous-vendu (ou mal vendu) à un public qui risque de l'ignorer.
Amenabar livre un péplum pseudo-intello qui risque de laisser la bouche sèche. Pas de quoi s'enthousiasmer, donc, ni cracher sa haine.
Drew Barrymore réalise son premier film. Son côté punk la pousse à mettre en scène des courses de rollers. Avec Ellen Page dans le rôle titre, Bliss donne la pêche.
Coppola en noir et blanc pour évoquer des problèmes de famille. Joli, efficace, mais un peu démesuré...
Le premier grand titre de l'année se confirme avec Darksiders. C'est un quasi sans faute de la part de Vigil Games et THQ, qui même s'ils reprennent beaucoup de choses des grands classiques, les magnifient par un design léché, original et varié et un gameplay à toute épreuve. Attention jeu un poil difficile parfois.
F1 2009 sur PSP permet de revivre la saison avec plaisir au travers de nombreux modes de jeu. Cela grâce à une jouabilité bien dosée, fin compromis entre arcade et simulation.
Sympa, frais et addictif malgré de nombreux détails ennuyants. On ne se rend même pas compte que les heures passent à écouter de la musique d'ascenseur. Du coup c'est réussi. Avis à ceux et surtout celles qui veulent se détendre.
On est déçus que la saga stagne à ce point au bout de deux ans sans rien à se mettre sous la dent. Et il faut bien s'avouer que le jeu, même s'il n'est pas plus beau que Phantom Hourglass et qu'il paraît du coup plus moche, reste un bon Zelda. Très prenant bien que plat.