Une bête mystérieuse sème la terreur sur un chantier du chemin de fer. Charles Darwin, rendu célèbre par son fameux livre sur l'origine des espèces, est appelé à l'aide. Et si maillon manquant entre l'homme et l'animal existait encore ?
Immersion dans un futur où les vampires auraient pris le dessus sur les humains. La pénurie d'humain, et donc de sang, nous embarque dans une satire sociale violente. Daybreakers est un film doté de qualités esthétiques sur les vampires au sens propre et figuré.
Rick poursuit son chemin avec ses compagnons d'infortune vers Washington. La route sera parsemée d'embûches et de luttes intestines au sens propre comme au sens figuré. Une série toujours aussi prenante.
Les envahisseurs de Tim Burton sont colorés, facétieux, turbulents, et jouent aux quilles avec un casting de stars nageant dans l'autodérision. Un grand défouloir porté par l'une des meilleures bandes originales de Danny Elfman.
Passée la déroutante éventualité que représente le tableau d'un ours qui lit, on est assez rapidement médusés et pris au jeu de son périple « gastronomique ». Comme nous autres lecteurs, ses voisins de la forêt n'en reviennent littéralement pas.
Quand le pouvoir est menacé par l'affaire Patel, les services spéciaux agissent. Son bras armé se nomme Sisco, qui est aussi beau qu'il est froid. Et attention aux dommages collatéraux !
Quand dans une comédie musicale on aimerait que les personnages arrêtent de se trémousser et de chanter, peut-on dire que c'est mauvais signe ?
Martin Scorsese et Leonardo DiCaprio se font à nouveau un petit plaisir cinématographique et nous le font partager. Un bon thriller psychologique, qui ne prend pas la tête, et nous transporte délicatement dans ce drame humain touchant.
Chuck contre la science, une rencontre prometteuse mais au final très décevante. Peut-être que l'absence de barbe y est pour quelque chose ?