Une comédie américaine sans prétention, menée par deux acteurs connus pour leur grand esprit comique. A voir, même si c'est très inégal.

Le premier album de Lilly Wood & the Prick est, dans la lignée de leur EP, une belle réussite où les bombinettes electro-pop croisent des ballades imparables.

42 auteurs, à la notoriété et aux styles très différents, se réunissent sous la bannière de l'éditeur indépendant Onapratut pour rendre hommage aux Pieds Nickelés. Loin de l'effort contrit que représente généralement ce type d'exercice, l'album est une revigorante bouffée d'air et un concentré de talent.

Un téléphone qui rappelle de sa propre initiative au moment où l'on sabre méchamment ses amis ? Un film d'horreur ? Non, une comédie dramatique avec un moustachu à la Magnum.

Cet artiste a longtemps tâté de tous les instruments et surtout de la platine pour quelques groupes de rap. Aujourd'hui il propose un saut dans une autre époque... et on s'y croirait.

Depuis vingt ans, le disciple de Léonard n'est plus payé. Pour pouvoir vivre,  il revend secrètement les inventions du génie. Mais ce qui devait arriver, arriva. Léonard l'apprend et le disciple doit ramener l'ensemble des inventions à l'atelier, en tirant la langue sous le poids évidemment ...

« Un pour tous, tous pour un ! » Grâce à trois romans (et non un), les trois mousquetaires (qui sont quatre) d'Alexandre Dumas ont fourni au cinéma et à la télévision de quoi offrir aux spectateurs des centaines d'heures de spectacle. Avec un bonheur inégal.

Deux jeune gallois, traînant avec des hippies, vont prendre peu à peu des chemins différents. Le narrateur va trouver du travail quand son ami va peu à peu s'enfoncer dans la marginalité et l'exclusion. Une amitié peut-elle résister à cela ?

Les aventures d'un laveur de vitres. Mais un laveur de vitre de l'espace !

Pur produit hollandais, nouveau mais sans surprise, cette chanteuse au joli timbre propose un style rétro version samplée, sans oublier de s'entourer de vrais musiciens, pour un premier album plutôt bien balancé.

Un album spécial dans lequel Frissen fait participer 38 dessinateurs pour un résultat délirant et rafraîchissant. El Gladiator est la victime désignée pour une aventure délirante qui va à 100 à l'heure.

Un ours redouté et redoutable se voit dans l'obligation de promettre de ne plus manger ses proies favorites s'il veut être libérer de la glace qui lui emprisonne les pattes avants. Suite à sa promesse, il va connaître la honte et l'humiliation mais aussi et surtout les joies de la paternité et de l'amitié.

Fatal, ou l'histoire du chanteur de rap Fatal Bazooka, de la gloire à la rédemption, en passant par la déchéance. Une satire qui tache en oubliant d'être intelligente.

En Perse, l'adaptation d'un jeu vidéo au cinéma ressemble à toutes les autres : décevantes. Le choix du réalisateur y est pour quelque chose, mais tout n'est pas à jeter.

La série originelle de football a perdu de sa splendeur avec les années...

Le monde des amateurs de BD, lecteurs et libraires, croqué par Sergio Salma et Libon. Un peu répétitif sur la longueur, mais beaucoup de justesse et de malice.

Bruce Campbell joue à fond la carte de l'autodérision et de la déconne burlesque, dans ce nanar assumé en forme de mise en abîme. Quelque part entre JCVD et Galaxy Quest, on en redemande... et on va en ravoir !

Natsuki Takaya, une prêtresse du shôjo veut nous emmener vers les étoiles...

Attendu. Trop atendu sans doute, le nouveau Fujisawa peine à convaincre

Une auobiographie de Hiroshi Hirata. Burlesque et remplie de réflexions