En Perse, l'adaptation d'un jeu vidéo au cinéma ressemble à toutes les autres : décevantes. Le choix du réalisateur y est pour quelque chose, mais tout n'est pas à jeter.

La série originelle de football a perdu de sa splendeur avec les années...

Le monde des amateurs de BD, lecteurs et libraires, croqué par Sergio Salma et Libon. Un peu répétitif sur la longueur, mais beaucoup de justesse et de malice.

Bruce Campbell joue à fond la carte de l'autodérision et de la déconne burlesque, dans ce nanar assumé en forme de mise en abîme. Quelque part entre JCVD et Galaxy Quest, on en redemande... et on va en ravoir !

Natsuki Takaya, une prêtresse du shôjo veut nous emmener vers les étoiles...

Attendu. Trop atendu sans doute, le nouveau Fujisawa peine à convaincre

Une auobiographie de Hiroshi Hirata. Burlesque et remplie de réflexions

La schtroumpfette en a assez d'être considérée comme une potiche. Elle décide alors, avec la connivence du grand schtroumpf, de gérer le village. Les schtroumpfs ne sont pas du tout d'accord et les premiers quolibets fusent. Il va lui falloir beaucoup de courage.

Un portage en tout point fidèle (voire un peu plus) à son ainé disponible sur le PSN depuis un an. La recette fonctionne toujours aussi bien, à condition de jouer contre des intelligences pas artificielles.

La naissance d'un héritier est pour le roi et la reine une joie immense. Mais une étrange malédiction va s'abattre sur l'enfant, qui va se voir pourvu d'une tête d'animal.

Pour sa première infidélité aux consoles de Sony la série des Monster Hunter frappe fort avec cet opus exclusivement résérvé à la boite blanche de Big N. Au programme beaucoup de nuits blanches à prévoir et un mode online plutôt bien fichu et totalement gratuit.

Fin du premier cycle pour la saga familiale bretonne de Balac (alias Yann) et Parnotte. Cupidité et trahisons, secrets de famille et superstitions, la sauce a du goût et prend plutôt bien.

Quand le grand frère de Titeuf (vu qu'ils ont le même père, Zep !) tente de draguer, les situations comiques ne sont pas loin. Zep nous offre un condensé des situations que peut rencontrer un ado dans sa quête de l'autre.

Un Delépine / Kervern, c'est comme un bon vin. Ça a un goût légèrement acide, c'est rond en bouche et finalement on y revient forcément. A déguster.

Claire Diterzi, à la demande de Marcial Di Fonzo Bo, compose-là la musique de scène d'une pièce sur Rosa Luxembourg, entre rock, opérette et passage foutraques.

Quel intérêt y a-t-il pour Petra, sublime milliardaire, d'abattre quatre scientifiques écologiques ? C'est la question que se pose Shaba Larsens qui a miraculeusement survécu à la tueuse à gage. Dans le même temps, Mia Maï s'intéresse de  près au compte de son amant, qui n'est autre que le mari de Petra...

Sortie en DVD de Max et les Maximonstres, l'un des films majeurs de l'an dernier malgré une exposition un peu réduite. On revient dessus.

Sous la caméra de Ridley Scott, Robin des Bois a forcément les traits de Russell Crowe. Et à part ça ? De l'action, de la reconstitution historico-politique soigneuse, et une galerie de têtes raisonnablement connues. Pour l'humour, l'originalité, le film du siècle, on repassera plus tard.

Tigresse blanche et Dragon aux trois couleurs sont à la poursuite de Yoshio Kodama pour récupérer les cartes situant un fabuleux trésor. Mais cela intéresse aussi les Américains, les communistes, les yakusas...