Premier tome autour d'un sujet qui mêle l'ésotérique à une pointe de politco-religieux, cet album exerce sur le lecteur un charme d'amnésie.
La disparition d'Alice Creed nous apprend deux choses. La première, qu'on pourra toujours le louer en DVD lors d'une soirée bières et pizzas avec ses potes. La seconde, que même avec des billets de Monopoly, on peut faire du bon cinéma.
Drazen, apprenti magicien, doit passer plusieurs épreuves afin de devenir le magicien que son père rêve qu'il soit.
Sous couvert d'un propos plutôt violent par la douleur qu'il raconte (et provoque), L'arbre est pourtant un film lumineux et optimiste, qui s'étire presque vers la contemplation.
Après une très bonne reprise dans le tome 6, ce dernier laisse une impression diffuse d'inachevé.
L'originalité d'un sujet ne suffit pas à faire un long métrage, même quand on s'appelle Bertrand Blier. Reste le plaisir de voir Dujardin et Dupontel incarner respectivement un écrivain alcoolique et son cancer.
Oui, je sais, la critique est à la bourre, mais c'est la faute à Blizzard ! Ils n'avaient qu'à pas faire de jeu aussi complet, je n'ai plus de temps libre, moi !
Avec son casting affichant pas moins de 24 burnes plus ou moins célèbres (oui oui, divisez par deux pour trouver le nombre d'acteurs), Stallone rame un peu pour fournir à la fois la dose d'action et le développement narratif nécessaire. Parfois, le mieux est l'ennemi du bien, et on frise ici l'indigestion de bonnes choses.
Merlin est sur le point de mourir. Il a reçu plusieurs balles coulées avec des morceaux d'excalibur, tirées par le gobelin Glee. Le seul moyen de le sauver va être de trouver du sang de dragon.
Tom Dare était un homme "normal" qui du jour au lendemain se découvre une maladie atypique : il se change en pierre. Débute alors un superbe récit dans lequel se mêlent enquête, émotions et graphismes justes. Un bel album avec le dessinateur de The Walking Dead.
Star trop souvent méconnue du cinéma d'action, Dolph Lundgren occupe depuis une quinzaine d'années le territoire du direct-to-video. Désormais, il assure lui-même la réalisation, et s'en tire comme un chef.
Salt, ou l'histoire d'une supposée espionne russe qui se fraie un chemin pour déclencher la troisième guerre mondiale. Trop d'invraisemblances et de twists gâchés.
Hyper tension était un film d'action extrême et bien fou. Hyper tension 2 est deux fois plus extrême et trois fois plus fou. Qu'un tel morceau de bonheur ne soit pas sorti dans nos salles est tout simplement honteux.
6 qui prend ! est un jeu apéro.
On dispose d'un certain nombre de cartes à déposer chacun son tour afin d'éviter à tout prix de récupérer la ligne remplie de têtes de boeufs.
Le crash de deux OVNIs va changer radicalement la vie et les techniques, mais l'opposition Est-Ouest reste la même. On se méfie et on s'espionne. Côté Ouest, nous avons Nico qui est à la recherche de sa mère.
Thématique à fort potentiel, mais sans adaptation parfaite, le rapport des adolescents avec le web demeure encore une nébuleuse. Ch@troom fait un pas en avant, mais ne déroge pas à la règle.
L'univers dépeint par David Ayer et James Ellroy, pourri par une institution policière corrompue, possède un charme certain mais ne brille pas par l'originalité de son scénario et sa moralité ambigüe.
Un bon classique des éditions Fluide à relire encore et encore. Un univers pittoresque dont on ne se lasse pas...