Face à face entre un jeune idéaliste trader et un vieux briscard de la finance qui n'hésite pas à jouer du côté de l'illégalité et des coups bas pour se refaire. Sans doute pas le meilleur Oliver Stone, mais la qualité est tout de même au rendez-vous.
Alexeï et Vincent vont s'opposer dans cet album malgré le lien qui les unit. Mais Alexeï a franchi la ligne blanche et Vincent fait son métier de flic. Pendant ce temps, un psychopathe continue à tuer.
Et si le catch nous était conté par une femme ? Le résultat serait à la fois intelligent et esthétique. C'est ainsi que Léonie nous présente sa Princesse Suplex. Aussi combattive que n'importe quel lutteur bodybuildé, elle s'accroche à la vie et aux cordes pour donner sur les rings le meilleur d'elle-même. Un album à découvrir.
Soul Calibur 3 fait partie des grands noms des jeux vidéo. Un "must have" pour tous les amateurs de combat. Beau, maniable et doté d'une durée de vie exemplaire, cet opus ne vous laissera pas de marbre malgré le temps qui passe.
De l'horreur comique à l'arrache, tournée avec les pieds, sans un rond et sans idée. L'humour geek bas du plancher, avec scatologie atterrante et dialogues ineptes, semble avoir séduit les publics de plusieurs festivals.
Si Meg Ryan est une routarde de la comédie romantique, ce n'est pas le cas du discret William H. Macy, qui donne tout son sel à ce petit film sympathique sur les coulisses d'Hollywood.
Sorte de best of de la série spin-off, il faut être open, pour ne pas se sentir out. Et si une voix off, vous dit que vous êtes out, il faut comprendre août, mois de sortie de cet album.
Dans un lycée des Yvelines, Simon Werner manque à l'appel. Entre fantasmes et désirs, les autres élèves ont bien du mal à cerner la réalité.
Un premier film de Gobert mêlant teen-movie et univers intimiste.
Suite et fin de cette adaptation du roman d'Anatole Le Braz qui nous découvre le châtiment que le gardien réserve à ceux qu'il aime.
Le cinéma d'horreur malais ressemble à n'importe quel autre. A découvrir un soir d'automne, puis certainement à oublier aussi sec.
Plus qu'un film sur les conséquences de la colonisation, Des hommes et des dieux est une réflexion sur la spiritualité, sur le choix et sur le « vivre ensemble ».
Croquer les aventures d'une centaine de héros chinois n'est pas une mince affaire. C'est pourtant avec brio que les auteurs parviennent à réaliser cet exploit. Ils sont secondés par les dessins de l'excellent Wang Peng.