Le justicier de Gottame City a bien des ennuis avec sa voiture... Et par voie de conséquence, avec la vie. Car Robine et lui sont d'une insondable connerie, exploitée au cours de 120 pages de strips sporadiquement drôles, mais globalement lassants.
Killing Room est une bonne surprise du marché "direct-to-dvd". Un huis clos intéressant, bien scénarisé, à la mise en scène efficace, qui ne révolutionnera pas le genre, mais fera passer une bonne soirée dvd !
Danny Trejo constitue le seul point fixe de cette trilogie coproduite par Quentin Tarantino et Robert Rodriguez, sorte de galop d'essai pré-Grindhouse. Si le premier film est de loin le plus connu, les deux suites direct-to-video méritent un coup d'œil indulgent.
Si les trois premiers tomes nous parlaient de l'occupation, celui-ci amorce la libération. Mais il semble que cela ne change rien, ni aux affaires de Joanovici, ni à la qualité de l'ouvrage.
Très grand classique de Steven Seagal des années 90, avec tout ce qu'il faut pour faire plaisir aux hommes assoiffés de nawak que nous sommes. Du coup c'est très mauvais ou génial selon les goûts. En tout cas c'est d'époque... Typique quoi !!!
Singularity est un FPS qui n'a pas su choisir sa voie ou ses modèles. En effet, à trop vouloir réunir l'horreur, l'action, le suspense et la science-fiction, on obtient une mélasse naïve et peu inspirée.
Tout réussit à Desmond. En effet, que ce soit en jeu, en film ou en BD, le fils du fils du fils du fils des assassins les plus célèbres revient avec talent dans un nouvel épisode. Cette fois-ci, c'est l'ancêtre romain Aquilus qui va faire l'éducation virtuelle de notre héros.
Duel au sommet : Al Pacino contre Robert de Niro. C'est l'argument de vente du film de Michael Mann, qui prend le temps de marier thriller et étude de caractères. Efficace, mais un peu long.
Un jeu d'alchimie certes, mais qui devient ennuyeux très rapidement. Ou alors il faut aimer se balader dans les paysages mignons d'un environnement fermé pour cueillir des champignons. Dommage car les mécaniques du gameplay sont très bonnes et les personnages attachants.
Seconde partie de la Malédiction des trente deniers, où l'on se pose la question de savoir si Blake, Mortimer ou Olrik va réussir à échapper à la mort. Non, je déconne ! J'ai juste envie de l'avoir et de le lire.
Steven décide de sauver la planète, à coups de pied et de poing dans la tronche des vilains dirigeants de compagnie pétrolière. Vain, mais néanmoins rigolo.
Mickey est toujours aussi pacifiste, même sous la houlette de Warren Spector. Le papa de Deus Ex réussit tout de même son pari en insérant la célèbre souris de Disney dans un jeu à plusieurs niveaux de lecture et de plaisir.
Top Squad sort de l'ombre, mais il aurait pu y rester encore un peu tant l'ensemble est plus que moyen. Malgré des actrices motivées, le film peine à nous garder devant l'écran.
Excellente entrée dans le patrimoine de la chanson française datant du demi-siècle dernier, Le cha-cha-cha des thons est une nouvelle réussite en terme de livre musical.
Il semblerait que chaque nouveau Call of soit désormais destiné à devenir le titre de tous les records. Pour Modern Warfare 2 c'était mérité, et Infinity Ward avait placé la barre très haut. Cette année, Treyarch mérite-t-il d'avoir explosé les ventes de son prédécesseur ?
Quand la comédie française se l'autorise, cela peut donner des OVNI de la trempe de ce Protéger & Servir. Attention, la profusion d'absurdités assumées peut refiler des boutons de fièvre.
La saga des Pokémon Ranger ne cesse pas de s'améliorer d'un épisode à l'autre. Bien que les bases soient les mêmes, le jeu ajoute un certain nombre d'idées qui font honneur aux Pokémon. Un épisode addictif voire même très addictif.
Porté par un Javier Bardem qui bouffe l'écran, Biutiful est l'un de ces films tristes et gris où même l'espoir disparaît dans la mort. Pas biutiful donc.
Transformer une BD à succès en un film de qualité, défi parfois difficile. La preuve avec cette adaptation ratée, trop facile, et finalement bien dispensable.
Sans Mariachi, pas de Machete. Mais si la trilogie du pistolero-guitarero a mis le pied de Robert Rodriguez à l'étrier hollywoodien, on ne peut pas dire qu'elle brille par sa cohérence...