Une autre ignominie des scénaristes / réalisateurs Friedberg et Seltzer, qui parodient l'univers de Twilight cette fois-ci. Une promesse de réjouissances pour certains, mais le film est tellement mauvais qu'il n'est amusant pour personne.
Un premier album en solo pour Jérémie Royer et une première réussite. Les ficelles employées ne sont pas toutes originales mais elles font mouches. Ainsi grâce à son style graphique et la puissance de ses paysages, le jeune auteur nous livre un récit qui se dévore avec plaisir.
Les geeks peuvent-ils sauver le monde et trouver l'amour ? Summer Wars nous propose de le découvrir...
Isidore décide de participer à un rallye pour échapper à son abruti d’apprenti. Le seul problème, c’est qu’il le suit avec son frère jumeau.
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Une oeuvre intelligente, sensible, sans prise de tête, qui revient sur les quelques années précédant la seconde guerre mondiale pour nous présenter le grand malheur du futur roi George VI.
Ely Braxton a une vie des plus insignifiantes. Son seul bol d’air vient de son travail. Mais celui dont elle tout appris est entre la vie et la mort. Il va falloir choisir entre s’apitoyer sur son sort ou réagir.
La garde est envoyée pour sauver Lockhaven. Saxon, Sadie, Kenzie, Lieam et Celanawe vont affronter tous les dangers pour ramener des médicaments de Sprucetuck. Du Tolkien pour enfant ? Pas vraiment !
Quand les Stones peignent une porte rouge en noir, franchement ça fait du bruit dans le monde. Et ça attire tous les hurluberlus, des punk-rockeurs aux gothiques, des corbeaux de la New Wave aux déjantés de la techno-hardcore. Ça a même attiré Marie Laforêt. C'est dire.
Tandis que certaines stars semblent attendre dans l'ombre le moment de frapper, d'autres demeurent tout de même actives. Les évènements qui vont se décider ce mois-ci risquent d'être capitaux pour la suite de l'année.
Une démo pour les hommes, les tatoués, les virils mais également pour les joueurs peu exigeants. En effet, si les ambiances de vestiaires sont appréciables, on est un peu dubitatif quant à l'aspect final du jeu.
Décidément, les Simpson en BD, ce n'est pas du tout convaincant, malgré les bonnes idées qui ont fait le succès de la famille la plus déjantée d'Amérique. Mieux vaut se regarder un épisode.
Mélange fluo à la sauce cybernétique d'un Prince of Persia moyen et d'un God of War peu inspiré, Tron Evolution n'est cependant pas un mauvais jeu vidéo. Juste une adaptation de plus dictée par les sirènes du marketing, à défaut de l'être par la jouabilité.